lundi 30 octobre 2017

Un dernier hommage à Ophélie Tourneur

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Originaire de Saint-Quentin, la jeune femme a été victime d’un accident de la route. Elle a été la mascotte du SQBB au sein des Renards blancs. Une minute d’applaudissements l’a célébrée lors du match de samedi 28 octobre

Saint-Quentin jouait contre La Charité-sur-Loire (Nièvre) samedi soir. Des applaudissements ont été demandés pour rendre hommage à Ophélie Tourneur, tuée dans un face-à-face à Landifay-et-Bertaignemont sur la RD 29, mercredi 18 octobre.

« Elle aimait s’amuser »

«  C’était une fille simple qui ne se prenait pas la tête  ». Pour Priscilla Bourlon, trésorière du groupe des supporters, les Renards blancs, Ophélie Tourneur «  croquait la vie à pleines dents  ». Agée de 19 ans, elle était originaire de Saint-Quentin. Elle a été la mascotte du SQBB au sein des Renards blancs pendant deux ans, entre 2012 et 2014.

Annie Vasseur, une supportrice, la connaissait. «  Elle était dynamique sur le terrain, très souriante  ». «  Elle aimait s’amuser et animer. C’est pour ça qu’elle est entrée comme mascotte. Elle a arrêté car elle voulait se consacrer à des études d’infirmière  », continue la trésorière.

« On ne pourra pas l’oublier »

«  Elle n’avait jamais un mot plus haut que l’autre. C’est une fille qu’on ne pourra pas oublier  », ajoute Roger Bleuse, président des Renards blancs.
Un dernier hommage à Ophélie Tourneurhttp://www.aisnenouvelle.fr/49728/article/2017-10-29/un-dernier-hommage-ophelie-tourneur

Le Kanak Kalepo Wabete rentre chez lui 101 ans après

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Mort juste avant l’Armistice et inhumé au cimetière de Flavigny-le-Petit (près de Guise) depuis 1924, le tirailleur kanak sera exhumé jeudi lors d’une cérémonie avant de retrouver ses terres du Pacifique
ci comme en Nouvelle-Calédonie, les commémorations du 11 novembre 1918 prennent une dimension particulière avec cet événement commun aux deux territoires. Le tirailleur de la petite île de Tiga, Kalépo Wabete, né en 1889, est venu mourir au combat ici, dans l’Aisne, à Vesles-et-Caumont en octobre 1918. Dix-huit jours avant l’Armistice.
Ce cultivateur de Nouméa s’était engagé deux ans plus tôt et avait rejoint le bataillon mixte du Pacifique. Il faisait alors partie du premier contingent des tirailleurs kanak.


À partir de juin 1918, son bataillon participe à la bataille du Matz, dans l’Oise. Début août, lors de la tentative d’enfoncement de la ligne Hunding, il prend part à l’attaque du plateau de Pasly, près de Soissons, puis aux actions en direction de l’Ailette, à l’arrière du Chemin des Dames.

« Il a fait preuve d’un grand sang-froid »

Quelque temps avant de mourir lors d’une offensive, il avait reçu une citation à l’ordre du bataillon : «  Bon fusilier tirailleur, il a fait preuve d’un grand sang froid au cours des bombardements et tirs de barrage subi par la compagnie les 28 et 29 août 1918.  »
Il a aussi été décoré de la Croix de guerre avec étoile de bronze. En 1924, sa dépouille et transférée au cimetière de la Désolation de Flavigny-le-Petit. Jeudi, elle sera donc exhumée lors d’une cérémonie patriotique. Il quittera l’Aisne pour rejoindre son île natale.

Cérémonie militaire à Nouméa

Le corps du soldat kanak Kalepo Wabete rejoindra la Nouvelle-Calédonie le 9 novembre avec son arrivée à l’aéroport de La Tontouta. Le 10 novembre se tiendra une veillée funèbre au centre Ko We Kara et le 11 novembre, une cérémonie militaire aura lieu à Nouméa suivi de l’inhumation à Tiga. C’est dire l’ampleur que prend cet événement attendu depuis des années sur cette île du Pacifique.
La flamme du Soldat inconnu, à Paris, devrait elle aussi être rallumée en sa mémoire car Paris participe activement à cette commémoration d’une ampleur nationale.

Le Kanak Kalepo Wabete rentre chez lui 101 ans aprèshttp://www.aisnenouvelle.fr/49920/article/2017-10-30/le-kanak-kalepo-wabete-rentre-chez-lui-101-ans-apres

LE MAG GUISE 30 Octobre 2017

dimanche 29 octobre 2017

Il restaure sa maison et arrive chez son voisin

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Un paisible couple de retraités de Proisy perd patience. Le nouveau voisin qui restaure la maison mitoyenne a tout croulé arrivant dans la cave et le grenier de leur habitation
Dans la rue de Verdun, au cœur du village de Proisy, sur la vallée de l’Oise, difficile de manquer la maison de Denise et Noël Merieux. Elle est située juste à côté de celle totalement ouverte depuis la rue.
Le problème n’est pas là mais plutôt au niveau du grenier et de la cave de l’habitation des retraités. En ouvrant la porte de la cave, on voit le jour directement car une partie du sol voisin s’est écroulé et les gravas ont atterri dans les escaliers de la cave, rendant les lieux difficiles d’accès. Au niveau du grenier, les propriétaires ont une vue directe chez le voisin. Pas en regardant par une fenêtre, non, mais au grand jour car le mur de séparation entre les deux maisons est à nu.

« Je ne m’attendais pas à avoir autant de travaux »



«  Il nous dit qu’il va venir mais on ne le voit jamais  », explique Noël Merieux impuissant devant le chantier laissé en plan. Le jeune propriétaire, M. Thiéfaine, a acheté cette maison à la commune qui lui a fait une offre alléchante. Mais la maison vide depuis vingt-huit ans est dans un état pitoyable. «  Je ne m’attendais pas à avoir autant de travaux  », reconnaît le nouveau propriétaire qui doit tout refaire, ce qui demande à la fois du temps et un budget plus important que prévu.
En attendant, l’automne est là et les retraités s’inquiètent. «  Cela fait 60 ans que nous habitons ici, nous n’avons jamais eu aucun problème. On demande simplement qu’il vienne réparer  », affirme Denise Merieux. Le couple comprend l’ampleur du chantier mais veut un geste avant l’hiver car le froid va rentrer par la cave et le grenier. Ils aimeraient au moins que des bâches soient posées pour couper les courants d’air.
Je n’ai pas le temps mais dès que je peux, je viens. Je vais commencer par boucher le sol de la cave et ensuite monter mon mur en parpaings, nous assure M. Thiéfaine, annonçant qu’il fera les travaux le plus vite possible mais sans donner de date. Je suis seul pour travailler. Le mur en parpaings aurait déjà dû être monté mais j’ai beaucoup de travail  », détaille ce jeune chef d’entreprise.
La municipalité ne veut pas trop s’immiscer dans cette affaire d’ordre privée. «  C’est une situation délicate mais la commune n’interviendra pas  », explique l’adjoint Bruno Minette. Le propriétaire promet d’aller voir les retraités pour les rassurer. C’est un premier geste.
Il restaure sa maison et arrive chez son voisinhttp://www.aisnenouvelle.fr/49700/article/2017-10-29/il-restaure-sa-maison-et-arrive-chez-son-voisin

À Bohain-en-Vermandois, une seconde vie pour les bouchons

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a scène se déroule vendredi 27 octobre, en face de l’ancienne sucrerie (route de Brancourt-le-Grand). Plusieurs personnes vident des sacs de bouchons dans le godet d’un Manitou. L’engin, conduit par Éric Maudens, se dirige ensuite vers un camion. Objectif : le remplir rapidement.
L’opération est essentiellement réalisée grâce à des bénévoles des antennes des Bouchons d’amour de Bohain, de Moÿ-de-l’Aisne et de l’association la Maison bleue. Une fois par an, un camion est affrété dans ce secteur de la commune, où l’association locale entrepose les sacs
Peu après 10 heures, le routier a pris la direction d’une société installée en Belgique. C’est là que les bouchons, préalablement triés, seront recyclés. La transaction n’est pas neutre. Elle rapporte aux Bouchons d’amour 235 euros par tonne. Presque neuf tonnes ont été expédiées, l’autre matinée.
«  En 2016, pour la région Nord-Pas-de-Calais-Picardie, nous avons soutenu plus de 30 projets, pour un montant total de 43 556 euros  », explique Maurice Forgon, président de l’antenne locale des Bouchons d’amour. Les projets s’adressent à des personnes en situation de handicap.
Un chèque de 1 724 euros a été remis, lundi 23 octobre, à une habitante d’Aubenton, près d’Hirson. Elle a besoin d’un fauteuil électrique, qui coûte 32 000 euros. «  Nous apportons un reste à charge à des personnes qui ont besoin d’un fauteuil manuel, électrique, ou qui doivent aménager leur domicile, leur véhicule… Nous épaulons aussi des associations. Cela a été le cas avec le Fil d’Ariane, à Laon, pour l’achat d’une machine à lire. Nous avons aidé le club d’athlétisme de Belleu (près de Soissons), et un club de tir pour l’achat d’une carabine ambidextre », se souvient Maurice Forgon.
Il rappelle que presque tous les bouchons en plastique peuvent être recyclés, sauf «  ceux qui viennent de produits toxiques  ». Bénévole depuis 2001 en faveur de l’association que parraine l’humoriste Jean-Marie Bigard, Maurice Forgon a noué de nombreux contacts sur le secteur. Avec, à chaque fois, des points de collecte, aussi bien dans l’ancienne Cité des tisseurs, qu’à Fresnoy-Le-Grand, du côté de Boué et à l’entreprise Materne. Plusieurs établissements scolaires du Bohainois soutiennent l’action des « Bigarchons ».
Pour savoir où déposer les bouchons sur le secteur, appeler le 03 60 52 08 81 ou le 06 83 61 12 21. Ou se rendre à l’ancienne sucrerie de Bohain, le premier vendredi du mois, de 9 heures à 11 h 30.

À Bohain-en-Vermandois, une seconde vie pour les bouchonshttp://www.courrier-picard.fr/67035/article/2017-10-28/bohain-en-vermandois-une-seconde-vie-pour-les-bouchons

samedi 28 octobre 2017

Sensations fortes à la fête automnale de Guise

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La fête d’automne a fait son retour dans la cité des Ducs. Il reste encore quelques jours

Depuis la semaine dernière et jusqu’à mercredi, les animations attirent petits et grands sur la place Lesur. Dimanche dernier, des cascadeurs vendéens ont voltigé dans les airs à la manière des manèges. Un spectacle riche en acrobaties et en surprises !
Maîtres du pilotage et rois de l’équilibre, les professionnels de l’équipe « Peur 2 Rien » ont proposé un show technique impressionnant et... explosif. Les pilotes de Sébastien Rambaud ont fait vrombir les moteurs de leurs quads et motos face à la salle des fêtes où se sont succédé des démonstrations périlleuses qui ont comblé les spectateurs présents. À la fin du spectacle, après plusieurs pneus éclatés, enfants comme adultes ont pu rencontrer les cascadeurs puis se prendre en photo devant les grosses cylindrées.

Ce week-end, à l’approche d’Halloween, les déguisements seront de sortie dans les rues de la commune avec un après-midi dédié à partir de 16 h 30. Enfin, un concert Génération Tube aura lieu dimanche dans la salle des fêtes à partir de 16 h. Tout un programme pour cette fête qui donne de la couleur dans la ville au beau milieu de l’automne.
Mercredi, dernier jour de la fête, journée enfantine à demi tarif.     

           Sensations fortes à la fête automnale de Guisehttp://www.aisnenouvelle.fr/49546/article/2017-10-28/sensations-fortes-la-fete-automnale-de-guise                    

mercredi 25 octobre 2017

Disparition de Clara, 12 ans: vive émotion au centre équestre

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Après l’accident du dimanche 22 octobre à Boué, l’enfant est décédée lundi après-midi à l’hôpital d’Amiens
Clara Demaret était une enfant amoureuse des chevaux. Pour s’en convaincre, il n’y a qu’à parcourir sa page Facebook, peu ou prou entièrement consacrée à sa passion. Elle y apparaît en compagnie de ses compagnons favoris. Dimanche dernier, c’est l’un d’eux qui, lors d’un funeste accident, lui a pris la vie.
Aux alentours de 16 h 30, alors qu’elle et deux copines nourrissent un poney moyen appartenant aux secondes, celui-ci saute la porte de la carrière, pourtant haute d’1,60 mètre, retombant sur l’adolescente de 12 ans. Héliportée à Amiens, elle décède de ses blessures lundi, au cours de l’après-midi. Sur les réseaux sociaux, notamment sur la page Facebook de l’association « Danse modern’jazz » de Boué, au sein de laquelle elle évoluait, les témoignes de condoléances se comptent par dizaines. Joël Lebègue, président du centre équestre au sein duquel s’est noué le drame, ne pouvait hier que s’y associer.

« C’était encore un bébé »



Joint par téléphone, l’homme n’a pu retenir ses larmes. «  C’est le décès d’un enfant… J’ai des enfants, des petits-enfants, trois petites-filles, qui font toutes du poney. On vous dit que vous n’êtes pas fautif, que c’est un accident, mais c’est terrible…  » Si quelques messages, ici ou là, ont pu mettre en cause la structure, Joël Lebègue a surtout reçu des marques de soutien. «  Les gens comprennent. Ceux des centres équestres savent bien que ça peut arriver, partout, avec les chevaux.  »
Ayant été contact avec les grands-parents au soir des faits, le président les a rappelés lundi. «  Je leur ai présenté mes condoléances, mais que voulez que je dise… C’était encore un bébé.  » La voix brisée par les sanglots, il n’en dira pas plus. Clara, 12 ans, sera inhumée ce vendredi à Boué.

Lire sur le journal l'Aisne Nouvelle 
Disparition de Clara, 12 ans: vive émotion au centre équestrehttp://www.aisnenouvelle.fr/49004/article/2017-10-25/disparition-de-clara-12-ans-vive-emotion-au-centre-equestre

Seboncourt: «Ça ressemble à rien cette histoire»

Le 4 février, sur la D 960 à Seboncourt, les gendarmes du peloton motorisé (PMO) de Gauchy opèrent des contrôles de vitesse à la jumelle. Lorsqu’une voiture passe devant celle-ci à 124 km/h (retenu 117), au lieu des 90 autorisés, les militaires la prennent en chasse, tous avertisseurs allumés.
Clignotant mis, le véhicule se gare en bord de route. Alors que les gendarmes s’approchent, son conducteur redémarre, quitte son stationnement et repart, coupant au passage les voies de circulation. Interloqués, les hommes du PMO le suivent jusqu’à une habitation en bordure de départementale, route de Guise, dont il pénètre la cour.

Elle est ivre, 1,24 g/l


De la voiture, sort une femme, que les gendarmes hèlent. Elle les regarde, mais, sans les considérer davantage, rentre dans la maison. Quelques instants plus tard, un homme en sort, demandant à ses visiteurs ce qu’ils veulent. Juste avant, à l’intérieur, la conductrice avait averti son compagnon : «  Y’a les gendarmes devant chez toi. Tu devrais aller voir  ».
Le quiproquo évacué, les militaires sont confrontés à une femme de 56 ans, l’haleine chargée, tenant des propos confus. Elle est ivre, 1,24 g/l, et, par ailleurs, dépourvue du permis de conduire. Mardi 24 octobre, elle comparaissait devant le tribunal de Saint-Quentin, écopant de 3 mois de prison ferme.

« Maintentant, il faut faire du vélo »

Les faits exposés, le président Louaver lui lance : «  Madame, ça ressemble à rien cette histoire.  » La prévenue, déjà condamnée à trois reprises dont deux pour conduite en état alcoolique ne sait trop quoi dire, sinon qu’elle n’avait pas compris que, les gendarmes, c’était pour elle. Sur la D 960, si elle s’était arrêtée, c’était pour les laisser passer.
Sous neuroleptique, notamment, invalide à 80 %, la quinquagénaire reconnaît avoir bu, «  mais la veille. Très tard  », ajoute-t-elle. Sur sa conduite, elle indique avoir tout simplement voulu «  essayer la voiture. Mon ami m’a donné les clés, je les ai prises.  » À l’énoncé de la décision, le président l’avertie : «  Maintenant, il faut faire du vélo  ». «  Je peux pas, avec ma prothèse.  »

Seboncourt: «Ça ressemble à rien cette histoire»http://www.aisnenouvelle.fr/48945/article/2017-10-25/seboncourt-ca-ressemble-rien-cette-histoire

Intoxication à Fresnoy le Grand

BOUGE TV

A Fresnoy-le-Grand, rue Albert Meunier.
Les secours interviennent pour une intoxication au monoxyde de carbone dans une habitation.
Un couple (et leur chien), un homme de 66 ans et une femme de 60 ans ont inhalé du monoxyde suite à une mauvaise combustion d'un poêle à charbon.
Ils seront transportés sur le CH Saint-Quentin.
Les secours procèdent à la ventilation des lieux.

...
Pour rappel : la saison de chauffe reprenant, les sapeurs-pompiers de l'Aisne conseillent aux axonais d'entretenir leurs appareils de chauffage.
Le monoxyde de carbone est un gaz inodore, incolore et mortel : soyez prévoyant, restez vigilant
!

mardi 24 octobre 2017

Le «périple» délictueux d’une bande de jeunes à Guise

En cellule depuis le 28 novembre 2016 et jusqu’au 4 février, un jeune majeur était jugé mardi 24 octobre pour vol et de multiples dégradations
Nonobstant ses 20 ans, le prévenu qui comparaît incarcéré, mardi 24 octobre au tribunal de Saint-Quentin, a déjà sept mentions au casier. La huitième est assortie d’une obligation de réaliser 105 h de travaux d’intérêt général. Les réquisitions de la substitut du procureur, indulgentes, de son aveu même, sont ainsi suivies à la lettre par le juge, ce malgré un «  périple  » délictueux de deux mois en 2016.
Dans la nuit du 6 au 7 juin, avec des mineurs, le garçon, déjà tombé pour outrage, vol, menace de mort ou port d’arme, s’introduit dans le collège Desmoulins à Guise. La vitre de la porte est brisée. À l’intérieur, les jeunes s’en donnent à cœur joie. Des extincteurs sont décrochés et vidés, l’un servant à casser une autre vitre. Un évier est bouché et déborde, les casiers des professeurs sont malmenés et les épices de la cantine sont déversées au sol.

Un ADN identifié sur un verre de la salle des fêtes



Un mois après, la petite troupe s’adonne au tag cité Gaspard, laissant derrière elle des « Nique ta mère » et « Fuck la police » ainsi que des signes «  ressemblant  » à des croix gammées. Le 10 juillet, les Guisards, ayant semble-t-il maille à partir avec l’Éducation nationale, sont place Lesur, devant l’école du Centre. Un tableau en plexiglas est arraché du mur, de même que le numéro de rue, brûlé. «  J’étais là, mais j’ai rien fait. J’ai laissé faire, c’est pas mon problème.  »
La semaine suivante, toujours place Lesur, la salle des fêtes est envahie. Vaisselle jetée, tables et chaises renversées et, à nouveau, extincteurs vidés. Sur un verre, sera retrouvé l’ADN du prévenu. Le 21 juillet, les compères repassent par Camille-Desmoulins, nouvelles dégradations. Six jours plus tard, leur «  périple  » s’achève rue de l’Europe.

« Je savais pas encore ce que je risquais »

Dans cette zone commerciale à la lisière est de la ville, le Guisard et ses jeunes amis s’en prennent à un camion qu’ils délestent d’une partie de son chargement, des bombes de peinture. Tombant sur une Opel Astra ouverte, clés sur le contact, le chef de bande se met derrière le volant pour une virée. Elle s’achève après un rodéo champêtre, au regard de l’herbe sur les roues. La voiture est abandonnée sur le parking d’Intermarché, capot enfoncé, vitres brisées. À proximité, la horde laisse d’autres véhicules endommagés.
À la barre, le jeune prévenu qui dort en cellule depuis le 28 novembre 2016 est présent sans vraiment l’être. La substitut du procureur tente bien de sonder le tréfonds de son âme, mais s’y noie plus qu’autre chose. «  Un terme revient souvent dans vos déclarations : «amusé». Qu’est-ce que ça vous inspire ?  » «  Je savais pas encore ce que je risquais.  » Libérable au 4 février 2018, il lâche tout de même : «  Si j’aurais su, j’aurais jamais fait ça. C’est pas bien la prison.  »
Le «périple» délictueux d’une bande de jeunes à Guisehttp://www.aisnenouvelle.fr/48818/article/2017-10-24/le-periple-delictueux-dune-bande-de-jeunes-guise

Trois blessés légers dans une sortie de route à Étaves-et-Bocquiaux

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Ce mardi 24 octobre, vers 15 h 45, trois ouvriers d’une même société venaient de quitter un chantier à Bohain-en-Vermandois quand, sur la D 13 à Étaves-et-Bocquiaux, ils ont eu un accident de voiture. Le conducteur, domicilié à Omissy, avec deux passagers vivant à Origny-Sainte-Benoite, a perdu le contrôle de son Opel Agila dans une légère courbe en descente. Il a affirmé avoir glissé sur une chaussée mouillée à cause de la pluie. Mordant le bas-côté, son véhicule est parti en tonneau, terminant sa course dans un champ du côté opposé de la route. Les trois occupants du véhicule ont pu s’extraire eux-mêmes de l’habitacle, avant d’être pris en charge par les sapeurs-pompiers de Bohain. Deux ambulances de Fresnoy-le-Grand et Saint-Quentin étaient aussi sur place. Se plaignant de douleurs aux cervicales et dos, ils ont été évacués vers l’hôpital de Saint-Quentin. Le dépistage d’alcoolémie du chauffeur s’est révélé négatif. La circulation a été régulée sur une seule voie le temps de l’intervention des secours.
Trois blessés légers dans une sortie de route à Étaves-et-Bocquiauxhttp://www.aisnenouvelle.fr/48801/article/2017-10-24/trois-blesses-legers-dans-une-sortie-de-route-etaves-et-bocquiaux

Accident Etaves-et-Bocquiaux

Aisne-Info


Etaves-et-Bocquiaux, sur la D13.
Les secours sont engagés pour un accident de la route, impliquant un seul véhicule.

La jeune fille percutée par un poney à Boué est décédée

La jeune fille percutée par un poney au centre équestre de Boué, dimanche 22 octobre dans l’après-midi, n’a pas survécu à ses blessures. L’enfant, originaire de la commune, était hospitalisée à Amiens. Décédée dans l’après-midi de lundi, elle était âgée de 12 ans.

La jeune fille percutée par un poney à Boué est décédéehttp://www.aisnenouvelle.fr/48713/article/2017-10-24/la-jeune-fille-percutee-par-un-poney-boue-est-decedee

Les poubelles à Barzy-en-Thiérache font les frais de mauvais plaisantins

Dans la nuit du mercredi 18 au jeudi 19 octobre, des individus qui traversaient le village ont pris un malin plaisir à faire tomber les poubelles que les riverains avaient sorties devant leurs portes afin qu’elles soient vidées au matin. Ce sont ainsi leurs propriétaires qui ont eu la surprise de devoir en ramasser le contenu, parfois éparpillé sur des dizaines de mètres.

60 euros par poubelle

Une des poubelles a par ailleurs été retrouvée à trois kilomètres de là, dans le Nord, inutilisable, les roulettes arrachées, le container cassé. Sur une centaine de mètres, papiers et bouteilles étaient éparpillés. La mairie de Beaurepaire a fait ramasser les détritus à la demande d’un habitant.

Certaines poubelles devront être remplacées, soit un coût de 60 € par poubelle, sans compter les frais de déplacement d’un employé de la communauté de communes de la Thiérache du Centre (La Capelle) pour la livraison. La gendarmerie a ouvert une enquête. Elle va assurer des rondes dans les semaines à venir.

Les poubelles à Barzy-en-Thiérache font les frais de mauvais plaisantinshttp://www.aisnenouvelle.fr/48582/article/2017-10-23/les-poubelles-barzy-en-thierache-font-les-frais-de-mauvais-plaisantins

Adolescente renversée par un cheval à Boué: "Les règles de sécurité étaient bonnes"

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Dimanche 22 octobre, l’enfant avait été renversé par un poney moyen au centre équestre de la commune
Un dramatique accident qui laisse aujourd’hui une jeune fille se battre pour sa vie à l’hôpital d’Amiens, tel est le bilan, malheureusement toujours provisoire, du coup de folie d’un poney moyen au centre équestre de Boué. Très touché, le président de la structure, reprise en mains il y a seulement quelques semaines, n’avait hier qu’une pensée: « Ce qui me préoccupe, c’est l’état de santé de la petite fille ».
Dimanche, il est aux alentours de 16 h 30, trois filles donnent à manger, des carottes, au poney moyen de deux d’entre elles, en dehors des heures de cours. L’animal est derrière une barrière, dans le manège. C’est alors que, pour une raison indéterminée, il parvient à sauter par-dessus la porte métallique de la carrière, pourtant haute d’un mètre soixante. En retombant, il percute les enfants. Deux d’entre elles, celles dont les parents possèdent l’équidé, s’en tirent avec de simples égratignures. La troisième, jeune fille de la commune âgée de 12 ans, est quant à elle gravement blessée. Elle est héliportée au centre hospitalier d’Amiens. «Il ne semble pas avoir réagi à une agression» Selon les premiers éléments de l’enquête de gendarmerie, pas plus les témoignages recueillis sur place que l’exploitation de la vidéosurveillance du centre équestre ne permettent d’expliquer la réaction du poney. « La vidéo permet de voir la fin de la scène, quand l’animal saute et percute les enfants. Il ne semble pas avoir réagi à une agression », indique Bérangère Sénéchal, substitut du procureur de la République de Laon. D’après le magistrat, « il n’y a semble-t-il rien à reprocher à la structure, les règles de sécurité étaient bonnes ». Le poney moyen avait déjà été monté par le passé et il n’avait apparemment pas mauvais caractère. Maire de la petite commune de 1 300 habitants, Thierry Thomas ne peut que déplorer cet accident touchant l’une de ses administrées. « Les vacances viennent de commencer, c’est un bien triste début. »

Adolescente renversée par un cheval à Boué: "Les règles de sécurité étaient bonnes"http://www.aisnenouvelle.fr/48641/article/2017-10-23/adolescente-renversee-par-un-cheval-boue-les-regles-de-securite-etaient-bonnes

lundi 23 octobre 2017

Percutée par un poney à Boué, la jeune fille de 12 ans dans un état critique

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Dimanche 22 octobre, vers 16 h 30, une jeune fille de 12 ans a été percutée par un poney moyen à l’école d’équitation de Boué, en Thiérache. Héliportée au centre hospitalier d’Amiens, l’enfant, originaire de la commune, se trouve ce lundi dans un état critique. Les circonstances du choc relèveraient de l’accident. L’animal, appartenant aux copines avec lesquelles la victime se trouvait, était dans le manège du centre. C’est alors qu’elles lui donnaient à manger que l’équidé a sauté la porte en métal de la structure, haute d’1,60 mètre. Les trois enfants ont été touchées, deux d’entre elles ne souffrant que d’égratignures.
Retrouvez notre article complet dans l’édition du mardi 24 octobre de L’Aisne Nouvelle.
Percutée par un poney à Boué, la jeune fille de 12 ans dans un état critiquehttp://www.aisnenouvelle.fr/48577/article/2017-10-23/percutee-par-un-poney-boue-la-jeune-fille-de-12-ans-dans-un-etat-critique


Les Guisards se sont fait piéger comme des gamins

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NATIONALE 3 - Dans un match à sa portée, le PAC s’est encore incliné, samedi, après avoir mené. Un mal récurrent du début de saison.
Les matches se suivent et se ressemblent pour Guise. Si Dourges a laissé une nette impression de domination en deuxième période, le PAC peut regretter son manque de tranchant défensif juste avant la mi-temps. Il comptait alors neuf points d’avance.
«  C’est encore un match perdu de peu  », regrettait l’entraîneur Stéphane Beaurain. «  Il faut qu’on arrête de jouer comme une équipe de gamins. On doit vraiment jouer comme des hommes et arrêter de pleurer.  »


Circonstance aggravante sur ce match contre Dourges : l’arbitrage. «  Je ne cherche pas d’excuses, je ne suis pas du genre à me plaindre des arbitres.  » Mais Stéphane Beaurain notait quand même une statistique intéressante : «  On siffle 19 fautes contre nous. 10 contre notre adversaire, dont 7 dans le dernier quart-temps. On se fait démonter de partout. Si les arbitres sifflent correctement, on n’en arrive pas là.  »

« On a besoin de souffler »

Guise dispose d’une marge de progression dans ce championnat. Mais doit apprendre à jouer en équipe selon son entraîneur : «  Tout le monde, ensemble, doit être connecté en même temps. On n’est pas loin. Mais pour le moment ça fait chi**.  »
L’entraîneur du PAC est conscient des lacunes de son équipe. Il reproche notamment à ses joueurs «  l’abandon de notre stratégie défensive  ». Et accueille avec soulagement les deux semaines de repos. Guise ne jouera son prochain match que le 4 novembre. «  On a besoin de souffler et de travailler, ça tombe bien.  »
Aux joueurs de bien profiter de cette trêve pour faire (enfin) pencher la balance de leur côté.
Lire sur le journal l'Aisne Nouvelle ....................  Les Guisards se sont fait piéger comme des gaminshttp://www.aisnenouvelle.fr/48447/article/2017-10-22/les-guisards-se-sont-fait-pieger-comme-des-gamins

dimanche 22 octobre 2017

Une jeune fille sérieusement blessée par un cheval dans un centre équestre de Boué

L’accident n’est pas banal. Dimanche après-midi, vers 16 h30, une jeune fille de 12 ans a été percutée par un cheval qui se trouvait dans un manège, et qui est sorti de son enclos pour une raison indéterminée. Il l’a alors percuté, la blessant sérieusement. Son état a nécessité un héliportage vers le centre hospitalier d’Amiens. Son pronostic vital est réservé. L’enquête devra déterminer les circonstances de l’accident.

Une jeune fille sérieusement blessée par un cheval dans un centre équestre de Bouéhttp://www.aisnenouvelle.fr/48430/article/2017-10-22/une-jeune-fille-serieusement-blessee-par-un-cheval-dans-un-centre-equestre-de

Six semaines sans prof de maths au Nouvion-en-Thiérache

Quatre-vingts élèves de 6e et 5e du collège Colbert-Quentin du Nouvion-en-Thiérache sont privés de cours de mathématiques depuis la rentrée de septembre. Le maire de Dorengt a interpellé le ministre au téléphone et par miracle, un remplaçant vient d’être trouvé…
a situation faisait sans doute le bonheur des élèves mais certainement pas celui des parents. Après une certaine tolérance, un comité s’est constitué. À sa tête, l’élu et père de famille, Olivier Cambraye.
Le maire de Dorengt, également président de l’Union des maires de l’ancien canton nouvionnais, a pu interpeller directement le ministre de l’Éducation nationale, Jean-Michel Blanquer, jeudi matin sur les ondes de RTL. «  Depuis la rentrée, 80 élèves du collège du Nouvion-en-Thiérache n’ont pas de prof de maths. Est-ce que vous pouvez intervenir ?  » a-t-il lancé en direct dans La matinale d’Yves Calvi. «  C’est anormal de se trouver dans une telle situation », lui a répondu Jean-Michel Blanquer. Et de conclure : « Je suis certain qu’on va trouver un remède à cette situation.  »

« Mon fils a cumulé 32 heures de permanences »

Cette opportunité fait suite à la constitution d’un petit groupe sur un réseau social au nom évocateur, « SOS profs de maths Le Nouvion ». Karine Adiasse, d’Esquéhéries, a rejoint le groupe qui défend une certaine idée de l’école républicaine et qui souhaitait vite qu’une solution soit trouvée pour son fils, en 6e au Nouvion, mais pour tous les autres aussi. «  Mon fils a déjà cumulé 32 heures de permanences depuis septembre. J’ai contacté le Rectorat et on nous demande de patienter.  »
Pour compenser les 4 ou 5 heures de cours de mathématiques en moins sur l’emploi du temps (en fonction de la semaine), «  on fait des révisions, détaille la mère de famille. Mais les enfants n’ont pas forcément envie de continuer les cours le soir avec les parents.  » Linda Brun, première adjointe de La Neuville-lès-Dorengt, a un fils de 12 ans scolarisé en 5e au collège nouvionnais. Elle envisageait même de payer des cours pour son fils : «  J’y pense mais ce n’est pas normal.  »

L’arrivée d’un nouveau professeur annoncée vendredi

Le collectif se donnait encore deux semaines, le temps des vacances scolaires, avant d’envisager une action d’envergure. «  Il faut trouver une solution car c’est du devoir de l’Éducation nationale, expliquait Laure Bocquillon, mère d’un élève de 6e. Son père lui donne des cours le week-end mais ce n’est pas normal et tout le monde ne peut pas le faire. » Le service communication de l’Inspection de Laon reconnaissait « un gros problème de recrutement  ».
Finalement, la bonne nouvelle est tombée vendredi soir. Le collectif annonçait la nomination d’un professeur à la rentrée. Comme quoi, un petit coup de fil au ministre, ça peut changer la vie de 80 collégiens.
Six semaines sans prof de maths au Nouvion-en-Thiérachehttp://www.aisnenouvelle.fr/48402/article/2017-10-22/six-semaines-sans-prof-de-maths-au-nouvion-en-thierache

LA CAMERA EST LA ...Archives GUISE ANNEES 70 : Défilé POTERNE, COMMUNIONS etc

Accident Leschelle

Aisne-Info

Leschelle, lieu-dit les Quatre Chemins, sur la D1029.
Les secours sont engagés pour un accident de la route, impliquant deux véhicules.
La circulation est fortement perturbée au niveau du carrefour avec la D26.

Nationale 3: Guise défait par Dourges

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Le PAC Guise s’est incliné 62-67 à domicile ce samedi

Malgré une première période globalement dominée, Guise s’est de nouveau incliné à domicile contre Dourges. Une défaite logique au vu de la deuxième période. Son adversaire était trop fort.
Très rapidement à cinq fautes collectives, les Guisards ont su rectifier le tir en fin de premier quart-temps. Plus solides en défense, efficaces en attaque, c’est tout logiquement qu’ils viraient en tête. La suite de la première période confirmait l’ascendant pris par le PAC. Malgré une défense plus stricte de Dourges, Guise tenait son avance de cinq points. Jusqu’à la dernière minute. À cause de pertes de balles répétées, Dourges revenait à deux petits points.
Dans le début du troisième quart-temps, les hommes de Stéphane Beaurain ont tenu cinq minutes avant de perdre la tête du match. Leur adversaire donnait l’impression de prendre les devants. Mais Guise continuait à s’accrocher, et ce malgré les ratés au shoot de Vukosalvejic, Magnan et Vatin. Dans les dix dernières minutes, Dourges a su accélérer nettement pour laisser les Guisards à distance. Bien aidé par une perte de balle de Atma au milieu de terrain, qui leur permettait de prendre cinq points d’avance à quatre minutes du terme. Efficaces au lancer franc, les Dourgeois assuraient leur domination sur la fin de match, avec une avance allant jusqu’à dix points.
Alors que le match semblait perdu, le PAC s’est offert une dernière minute de folie. Revenu à quatre points, une nouvelle perte de balle a mis fin aux espoirs de prolongation, voire de succès.
Pour la première fois de la saison à domicile, Guise est vraiment tombé sur meilleur que soi. Et affiche un bilan négatif dans sa salle (1 victoire, 2 défaites). Une anomalie à corriger dans trois semaines contre Beuvrages.
Lire sur le journal l'Aisne Nouvelle ...............  Nationale 3: Guise défait par Dourgeshttp://www.aisnenouvelle.fr/48309/article/2017-10-21/nationale-3-guise-defait-par-dourges

samedi 21 octobre 2017

Appel à témoins suite à l’accident mortel survenu mercredi après-midi sur la D29

N' Radio


La gendarmerie lance un appel à témoins suite à l’accident mortel survenu mercredi après-midi sur la D29 entre Le Hérie-la-Viéville et Landifay-et-Bertaignemont.
2 véhicules se sont percutés ce jour là vers 15 heures. ...
Les 2 conducteurs, une jeune femme de 19 ans domiciliée à Landifay-et-Bertaignemont et un retraité de Pleine-Selve, seuls à bord de leur véhicule, sont décédés.

Si vous avez été témoin de ce drame, n’hésitez pas à contacter le 17 ou le 03 23 98 00 17.

L’assassinat de Clarisse Lesur reconstitué à Hirson

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Le guisard avait tué son épouse à Hirson .....  Guise - Saint-Quentin : le meurtrier présumé d’Hirson en correctionnellehttps://guisefrancis.blogspot.fr/2017/03/guise-saint-quentin-le-meurtrier.html

Cette femme de 28 ans a été tuée le 25 novembre, devant la Maison de la petite enfance
Le 25 novembre 2016, Clarisse Lesur est assassinée à coups de couteau devant une crèche hirsonnaise. Son mari Marcel, 51 ans, est arrêté quelques kilomètres plus loin, à Landouzy-la-Ville.
En mars dernier, durant sa détention provisoire, Marcel Lesur est condamné à quatre mois de prison ferme pour avoir menacé des éducateurs en charge de ses enfants.


Ce vendredi, l’assassinat de Clarisse Lesur était reconstitué.
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Tous les accès au quartier des Champs-Élysées, à Hirson, étaient bouclés ce vendredi matin. Impossible d’accéder à la Maison de la petite enfance. Ses abords étaient réservés à la reconstitution du crime qui s’est déroulé là, il y a un peu moins d’un an.
Vendredi 25 novembre 2016, en pleine rue et alors qu’elle vient de déposer sa fille de 2 ans à la crèche, Clarisse Lesur est poignardée à six reprises par un homme, qui prend la fuite. Un coup fatal est porté au cœur. La victime ne peut pas être réanimée. Le principal suspect, son mari, dont elle était séparée, est arrêté un peu plus tard. Mis en examen pour assassinat par conjoint, Marcel Lesur, 51ans, est écroué.

Condamné une première fois

Quelques mois plus tôt, en juillet, le juge des enfants de Saint-Quentin avait décidé de placer les trois enfants du couple guisard. Leur mère les rejoint au centre maternel de Mondrepuis en août. Et demande le divorce une semaine avant sa mort.
Depuis, l’assassin présumé a déjà été condamné une première fois, fin mars, pour avoir menacé à plusieurs reprises les éducateurs qui encadraient les visites à ses enfants.
La reconstitution du crime a été organisée sur demande du juge d’instruction, et en présence de l’assassin présumé. Elle a duré jusqu’à la fin de la matinée


L’assassinat de Clarisse Lesur reconstitué à Hirsonhttp://www.aisnenouvelle.fr/48163/article/2017-10-20/lassassinat-de-clarisse-lesur-reconstitue-hirson

Guise passe « un vrai test » face à Dourges

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NATIONALE 3 MASCULINE - Le promu guisard accueille l’actuel deuxième du championnat, samedi au gymnase Lesur.
Le précieux succès (63-67 ap., 4e j.), ramené d’Escaudain, la lanterne rouge, a été acquis grâce à une grosse solidarité. Une valeur à ressortir, samedi à domicile, contre Dourges (Pas-de-Calais). «  Si l’on veut faire un bon résultat, ça passe aussi par une grosse défense et un meilleur taux de réussite aux tirs. On doit limiter également les pertes de balle, car c’est un peu notre défaut en ce moment  », reconnaît Stéphane Beaurain, l’entraîneur guisard.

Les Thiérachiens au complet

Pour la première fois de la saison en championnat, Guise (deux victoires, deux défaites) va se présenter au complet. Salim Atma, David Lecocq et le Serbe Filip Vukosavljevic ont soigné leurs bobos durant la semaine. Ils ne seront pas de trop face au deuxième du classement. La seule défaite de Dourges a été concédée (83-55) chez le leader liévinois.


«  Comme beaucoup d’équipes dans notre poule, Dourges ne lâche rien. C’est un vrai test. À nous de se mettre à la hauteur de l’adversaire. Avec le soutien du public, j’espère que ça va passer  », déclare Stéphane Beaurain........... LIRE SUR LE JOURNAL L'AISNE NOUVELLE ...........  Guise passe « un vrai test » face à DourgesGuise passe « un vrai test » face à Dourges

vendredi 20 octobre 2017

Un nouveau médecin en Thiérache avant une maison de santé

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Karim Tagziriat est le nouveau médecin traitant de Buironfosse (entre Guise et La Capelle), où il a élu domicile. Le maire annonce aussi une maison de santé pour l’année prochaine
Karim Tagziriat succède à Ali Fenides qui a cessé définitivement son activité. Âgé de 45 ans, il va s’installer très prochainement au cabinet médical de l’Ehpad, secondé dans sa prise de rendez-vous par une secrétaire. Il nourrit le secret espoir d’élargir ses plages horaires une fois son activité lancée dont une partie sera consacrée aux visites à domicile.
Officiellement, il a été présenté à la population jeudi dans la salle polyvalente, le temps d’une réception orchestrée par le maire, Marie-Anne Wattier, en présence d’Isabelle Soufflet, directrice de l’Ehpad, et des professionnels de santé. «  J’espère faire un très long chemin en Thiérache et juguler le problème de désert médical que rencontre la ruralité  », témoigne le docteur Tagziriat.

« C’est le bien-être des gens qui est important »



En attendant l’accueil de son premier patient, il officie toujours au centre hospitalier du Nouvion-en-Thiérache en qualité de médecin-praticien. «  C’est le bien-être des gens qui est important. Je vais essayer de glisser progressivement de mon activité au centre hospitalier vers la médecine de ville  », poursuit Karim Tagziriat. Face aux habitants, il a évoqué son cursus universitaire et ses nombreuses expériences professionnelles.
Il a décroché son diplôme de médecine générale à l’université pluridisciplinaire Paris-XIII. Suivront une capacité de gériatrie à la faculté de médecine Georges- Pompidou, là aussi à Paris, et enfin une solide expérience acquise auprès de beaucoup de centres polyvalents de santé.

Une petite maison de santé en 2018

Quant au maire, elle a annoncé à l’horizon 2018 la création d’une petite maison de santé dans des locaux situés en face de l’Ehpad.
D’ici la prise de fonction du docteur Tagziriat, le docteur Hocine Tamene, médecin à Vervins, assure une permanence au cabinet médical de l’Ehpad, le jeudi toute la journée et le vendredi de 18 heures à 20 heures.




Un nouveau médecin en Thiérache avant une maison de santéhttp://www.aisnenouvelle.fr/48064/article/2017-10-20/un-nouveau-medecin-en-thierache-avant-une-maison-de-sante


VOLO, théâtre du Familistère


Samedi 21 octobre 2017 | 20h30
CONCERT - VOLO

Plus de 10 ans et déjà un 5ème album pour Volo! La paternité, le temps qui passe, l'amitié, le sentiment amoureux... Autant de sujets qu'ils mélangent à leur volonté de comprendre les enjeux d'un système économique globalisé, qui a des conséquence sur notre vie de tous les jours.

Les frangins Frédo et Olive sont heureux de reprendre la route dans une formule simple et évidente, pour un florilège de chansons épurées et mélodiques, tout en guitare et voix.

Ecole Vadencourt 02120

jeudi 19 octobre 2017

CONCOURS COLLÈGE LYCÉE organisé par le Familistère de Guise

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L’utopie du Familistère est d’une nature industrielle. Pour Godin, son fondateur, le progrès technologique est la promesse d’une transformation sociale radicale. 

Participez aux Trophées de l'Utopie! Ouvert aux collèges et lycées, l’objectif du concours est, en lien et dans la continuité de l’exposition "Des machines au service du peuple", de contribuer à la promotion de l’enseignement des sciences et des techniques par la sélection de projets d’équipes d’élèves et d’enseignants. Vous aussi, imaginez votre machine au service du peuple!

Info et renseignements: serviceeducatif@familistere.com
Date limite d'inscription: 15/12/17

Cinq mois de chantier rue Sadi-Carnot

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Depuis lundi et jusqu’à début 2018, le chantier d’aménagement de la rue Sadi-Carnot va sérieusement perturber la vie des riverains et la circulation.
Après l’entrée de ville côté zone commerciale, cette fois-ci, c’est au tour de l’entrée de ville côté Lesquielles-Etreux d’être en travaux. Il s’agit de restaurer toute la partie située entre la rue de la République et la rue Sadi-Carnot à hauteur de l’usine Godin.
Si le tronçon n’est pas très long, en revanche, il est complexe car il se chevauche dans le projet d’aménagement du futur siège intercommunal et de l’entrée de route qui mène sur le site du Familistère.


Hier, élus et techniciens ont fait le point sur place. «  Là, on est vraiment dans le dur car il faut enfouir tous les réseaux, c’est-à-dire l’électricité, l’eau, le téléphone et la fibre optique. La situation du moment devrait déjà s’améliorer dans le courant de la semaine prochaine », détaille le responsable des services techniques de la ville, Fabrice Leviel.
Même si cet axe n’est pas le plus fréquenté de la ville, on enregistre entre 3 500 et 4 500 véhicules/jour.

Parking, piste cyclable et enrobée

La circulation par feux alternés vient vite mettre le bazar à cet endroit sans déviation possible sauf pour les habitués qui connaissent (par Villers-les-Guise, chemin de Bono).
Si la circulation est alternée, le stationnement est lui interdit durant tout le temps des travaux entre l’usine et la place de Madagascar. Une note d’information a été distribuée aux riverains.
Ces travaux, d’un montant de 600 000 € HT qui font le lien entre les deux parties de rue déjà restaurées, vont donc suivre la même configuration paysagère. Bordures, enrobée, stationnement et aménagement paysager feront la continuité des deux tronçons existants.
Le parking situé face à l’usine va être restauré et les plaques de béton remplacées par un muret en briques d’une hauteur comprise entre 1, 40 m et 2, 10 m et contiendra une trentaine de places. Il servira aux employés Godin la semaine et aux touristes du Familistère le reste du temps.
Pour réduire la vitesse, pas de ralentisseur mais la création d’une chicane comme rue de la République. «  On trouvera également un cheminement réservé aux vélos à double sens sur l’ensemble de cet axe », précise Jean-Jacques Briquet, adjoint aux travaux. Les automobilistes qui empruntent cet axe et les riverains vont donc devoir faire preuve de patience pour avoir ensuite un bel espace de vie.
La ville espère avant la fin de mandat s’attaquer aussi à l’autre entrée de ville en provenance de Saint-Quentin. Voilà qui laisse un peu de temps pour souffler.

Cinq mois de chantier rue Sadi-Carnothttp://www.aisnenouvelle.fr/47745/article/2017-10-18/cinq-mois-de-chantier-rue-sadi-carnot

 

mercredi 18 octobre 2017

Vacances de la Toussaint 2017 (du 21 octobre au 5 novembre) au Fort

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VISITE LIBRE
Du mardi au dimanche
10h-12h▐ 14h-18h
(ouvert le 1er et le 11 novembre)

VISITE GUIDEE (45 min)
Du mardi au dimanche
Sur réservation uniquement
11h00 ▐ 14h30 ▐ 16h00


TARIFS 2017
(Visite libre et/ou visite guidée avec le même billet)

Tarif plein : 6 €
Tarif réduit : 4,50 € (- de 18 ans, étudiant, demandeur d’emploi, personne en situation de handicap)(sur présentation d’un justificatif)
Gratuit : – de 6 ans
 



PASS CHATEAU FORT DE GUISE + FAMILISTERE DE GUISE

Tarif plein : 12 €
Tarif réduit : 8 € (- de 18 ans, étudiant, demandeur d’emploi, personne en situation de handicap)(sur présentation d’un justificatif)
Gratuit : – de 6 ans

Paiement : espèces ▐ chèque ▐ carte bancaire

-Toilettes
-Boissons fraîches et chaudes
-Boutique (produits locaux, jeux, jouets, livres…).
Les bénéfices de la boutique participent à l’achat de matériaux pour la restauration du site ; n’hésitez pas à vous y arrêter !


Château Fort de Guise
Club du Vieux Manoir
Allée Maurice Duton
02 120 Guise
03 23 61 11 76
chateaudeguise@clubduvieuxmanoir.fr
www.chateaudeguise.fr


À bout à Origny-Sainte-Benoite, il menace sa compagne de mort et lui brûle sa veste sur le trottoir

a jeune femme dédouane en partie son compagnon à la barre, mardi 17 octobre au tribunal de Saint-Quentin. «  J’ai aussi mes torts. Je me levais tard, je me suis totalement laissée aller. C’est lui qui faisait tout à la maison. J’ai pas accepté la mort de ma grand-mère  », finit par préciser l’Orignaquoise pour justifier un épisode dépressif lors duquel elle ne s’occupait plus guère de ses enfants, la charge incombant dès lors à son compagnon, notamment poursuivi pour violence. «  C’est un homme qui était à bout, plaide son avocate. Ça n’excuse rien, mais ça explique.  »
Le 24 mars, alors que le prévenu de 38 ans est lui-même en dépression, il tente de se suicider en avalant deux plaquettes de tranquillisants. Lorsqu’il quitte l’hôpital la nuit suivante, il revient au domicile conjugal. Après un café et une cigarette, il s’emporte. «  Tu sers qu’à faire des enfants !  », éructe-t-il. Le primo-délinquant sort de l’appartement, puis rentre, frappe sa concubine, ressort pour prendre une tige de chantier en fer dans sa voiture. Elle ferme la porte, il la force, casse la vaisselle sur la table. Quand elle essaie de lui saisir le bras, il lui assène un coup de tige. Les gendarmes interviennent, puis à nouveau le 15 août.

« Je vais tout faire pour que tu crèves »


Ce jour-là, énervé parce que la plus grande des filles se lève trop tard et ne participe pas assez aux tâches de la maisonnée, le trentenaire commence par briser un terrarium d’un coup de poing, avant de menacer de mort la mère de famille. Brandissant un couteau, il lui lance : «  Je vais tout faire pour que tu crèves !  » Il finit par prendre sa veste et y mettre le feu sur le trottoir.
Pour toute son œuvre et, au passage, un vol d’énergie au préjudice d’ErDF, le prévenu est condamné à 8 mois de prison avec sursis. Il est absent à l’énoncé de la décision, parti qu’il est déjà du tribunal, bras dessus bras dessous avec sa victime.
À bout à Origny-Sainte-Benoite, il menace sa compagne de mort et lui brûle sa veste sur le trottoirhttp://www.aisnenouvelle.fr/47631/article/2017-10-18/bout-origny-sainte-benoite-il-menace-sa-compagne-de-mort-et-lui-brule-sa-veste