J'y ai vécu... travaillé... je me souviens...vous me suivez ?
Revue de la presse régionale et nationale sur tout ce qui a un trait avec Guise ... la ville de mon adolescence ...
Les élus ont fait le point, jeudi soir lors du conseil municipal, sur
les futurs investissements de l’année qui passent aussi par le vote des
taux d’imposition. Les années 2013 et 2014 dégagent des
excédents qui permettent de voir 2015 sereinement. En fonctionnement,
l’excédent de clôture se monte à 4,3 millions auxquels il faut
soustraire, côté investissements, un besoin de financement de 805 000 €. Cette
bonne santé financière va permettre à la commune de réaliser des
travaux, d’autant que le conseil décide de ne pas augmenter les quatre
taxes d’imposition, comme c’est le cas depuis près de dix ans. La taxe
d’habitation reste à 23, 70 %. Inchangés également le foncier bâti (20,
75 %), le non bâti (31,39 %) et le taux de cotisation foncière des
entreprises (20, 80 %). Côté investissement, la commune
poursuit, dans le cadre de la redynamisation du centre bourg,
l’aménagement de la rue Camille-Desmoulins. Elle devrait acheter l’ancienne boucherie Dubuis, près du Familia. « On va la remettre en état et la louer à un couple qui souhaite ouvrir une poissonnerie
» précise le maire, dont l’objectif reste d’équilibrer l’activité du
centre-bourg avec celle de la zone commerciale. Ce nouveau commerce
devrait être opérationnel pour les fêtes de fin d’année. D’autres achats
dans cette rue, dont le dynamisme commercial a fait jadis sa renommée,
sont aussi prévus. « On va essayer d’en acheter le plus possible sur l’année 2015 pour qu’ils soient opérationnels en 2016 » détaille Hugues Cochet. Parmi
eux, toujours dans le cadre de la redynamisation du centre bourg,
l’ouverture d’un autre magasin, mais pas de cycles-randonnées comme
initialement prévu pour ne pas faire concurrence au nouveau magasin de
cycle-pêche à l’entrée de la rue Camille-Desmoulins. Toujours
dans cette même optique, les deux bornes pour recharger les véhicules
électriques vont être installées comme prévu : une sur la place Lesur et
l’autre dans la zone commerciale de la Briqueterie. Le coût de ces
travaux s’élève à 25 642 € HT dont 9000 € à la charge de la commune.
Quatre caméras supplémentaires
Cette
année, la ville décide d’acheter un bus de 55 places, qui viendra
compléter celui existant de 17 places. Ceci afin d’éviter la location
auprès d’un prestataire privé pour les sorties scolaires et sportives. Pour
renforcer la sécurité des biens et des habitants, quatre nouvelles
caméras de surveillance, seront installées place Meurisse complètent le
dispositif existant place Lesur et rue Camille-Desmoulins. En
2015 comme pour les années précédentes, les bâtiments scolaires vont
bénéficier de travaux d’entretiens et d’aménagements, principalement à
l’école maternelle et primaire du Centre. Côté sport, le gymnase
Lesur va, lui aussi, profiter d’aménagements, notamment un nouveau
marquage au sol avec une mise en conformité pour le club de basket. Une
étude de faisabilité va être réalisée pour la couverture du terrain de
tennis. Pour les autres bâtiments communaux, il est également prévu des
mises en conformité, notamment en ce qui concerne l’accessibilité pour
les personnes handicapées. Ce sera le cas pour la bibliothèque avec la
pose d’un lève personne sur la façade arrière, mais aussi au cinéma avec
l’aménagement d’un sanitaire à l’entrée qui vient d’être tout juste
réalisé. Concernant les travaux de voirie, l’aménagement d’un
parking le long de l’hôpital se fera dans le cadre de l’arrivée du
centre de dialyse. Dans la rue André-Godin, de nouveaux plots
anti-stationnement côté impair viendront compléter les existants entre
la maison médicale et l’intersection.
En matière
d’espace vert, des surprises sont prévues, sans que nous en sachions
davantage, au niveau du Pont de fer, pour compléter le trompe l’œil
existant, ainsi qu’un nouvel aménagement du giratoire place Meurisse,
square du Curoir et square Saint-Médart/Devillers. Beaucoup de
ces travaux seront réalisés cette année. Prochain conseil pour les élus,
le 22 avril avec cette fois le vote définitif du budget 2015 et le
détail chiffré de l’investissement et du fonctionnement.
Aujourd'hui a eu lieu le premier atelier pédagogique "Habiller le Chevalier", lancé cette année !! Les enfants ont pu voir apparaître un vrai chevalier devant eux, qu'ils ont aidé à enfiler son armure ! Merci beaucoup à Samuel, de la La Compagnie de France : ) Nous proposons beaucoup d'autres ateliers pédagogiques au Château, consultables sur notre site Internet : http://chateaudeguise.fr/un-espace-pedagogique/
Un Hirsonnais de 19 ans a été condamné par le tribunal de Saint-Quentin à 2 mois de prison pour injures racistes à l’encontre du proviseur du lycée Françoise Dolto de Guise. Le 23 septembre 2014, le jeune homme attendait sa copine dans l’établissement quand le fonctionnaire lui a demandé de quitter les lieux. L’individu s’est alors emporté contre le proviseur, incitant des élèves à s’interposer. Le prévenu était absent à son procès et a été jugé par défaut.
L’événement de la saison culturelle de l’année est sans aucun doute la venue de cet artiste ancien pensionnaire de la Comédie Française au théâtre samedi soir. Grégory Gadebois, molière 2014 dans la catégorie seul en scène et lauréat du César 2012 du meilleur espoir masculin. Il sera sur scène dans la pièce Des fleurs pour Algéron d’après l’oeuvre de Daniel Keyes. Il s’agit ici d’un monologue où l’émotion, le rire sont teintés d’effroi devant les effets imprévisibles des expériences scientifiques. C’est l’histoire d’Algernon est une souris de laboratoire. Elle a subi une opération du cerveau, deux chercheurs veulent accroître son intelligence. Encouragés par les progrès extraordinaires d’Algernon, ils tentent l’expérience sur un homme, Charlie Gordon. Charlie est simple, son QI ne dépasse pas 68.Mais il a envie d’apprendre, surtout grâce à Miss Kinian, son professeur dont il est secrètement amoureux. L’opération réussit. Commence alors le combat pacifique entre Algernon et Charlie sur fond de découverte du savoir, de l’intelligence, de la connaissance, de l’amour. Jusqu’à ce que… Cet événement débutera pour ceux qui le souhaitent par une Soirée au Familistère : La science appliquée au bonheur : quelques cas d’utopies concrètes. Il s’agit d’une conversation avec Frédéric Panni, conservateur du patrimoine, suivie d’une incursion dans les Fabriques de l’utopie du pavillon central. Rendez-vous à l’épicerie, magasin de projection du pavillon central. 18 h 00. Durée : 60 minutes, suivi d’un repas à 19 h 30 Tarif : 17 € plein tarif / 14 € tarif réduit et abonné. Ce prix comprend l’entrée au pavillon central, la visite et le repas (boissons non comprises). Infos : wwwfamilistere.com
Depuis de nombreuses années les enseignants de l’école Godin, organisent des sorties afin de visiter des lieux qui ont un rapport avec leur projet d’école.
La classe de CM2 de l’école Godin a été retenue pour participer au 20e Parlement des enfants. Organisée conjointement par l’Assemblée nationale et le ministère de l’Education nationale, cette opération permet d’offrir aux écoliers scolarisés en CM2 une leçon d’éducation civique «grandeur nature», en leur proposant de découvrir la fonction de législateur lors d’un travail en classe durant une partie de l’année scolaire. Les élèves espèrent maintenant que leur proposition de loi visant à faciliter l’accès de l’enfant à ses droits sera retenue par le jury de l‘académie d’Amiens et qu’elle fera partie des 4 propositions retenues au niveau national.
Fin mars, le bus affrété par Christian Noisette, le directeur, a pris la direction de Paris jusqu’au quai d’Orsay, entrée principale de la Chambre des Députés connue aussi sous le nom d’Assemblée Nationale. Après avoir passé tous les contrôles mis en place par le plan Vigipirate, les élèves du CM1 de madame Fay et du CM2 de Christian Noisette ont été accueilli par un guide du palais Bourbon qui leur a expliqué quelques rouages du fonctionnement de ce lieu ou se vote et se décident le destin et la vie de la France.
La découverte de certains salons, de l’hémicycle et de la bibliothèque n’a pas laissé insensible les élèves qui ont pu compléter leur instruction civique dispensée dans leur programme scolaire. Leur surprise a été grande de se retrouver dans l’Hémicycle qu’ils imaginaient plus vaste. Les petits guisards ont étonné le guide par leur sagesse et la pertinence de leurs questions. La bibliothèque les a laissés sans voix et plusieurs d’entre eux ont imaginé la quantité pharaonique de livres non visibles.
Après un petit tour par les jardins des Tuileries pour le pique-nique, direction la tour Eiffel puis visite de la capitale en bateau mouche. Cette escapade parisienne a aussi offert aux enfants l’opportunité d’admirer quelques célèbres monuments parisiens : Notre-Dame, les Invalides, l’Arc de triomphe, la place de la Concorde, les Champs Elysées, …
Le cirque Zavatta, petite-fille de la lignée du célèbre Achille a posé son chapiteau espace Lemoine (près du court de tennis) pour plusieurs représentations. Malheureusement la première prévue hier après-midi a dû être annulée pour des raisons de sécurité à cause de la tempête. Jusque lundi, les artistes vont enchaîner les numéros sur la piste. Petits et grands pourront admirer de la jonglerie traditionnelle, du trapèze, des clowns ou un numéro de hula-hoop. Le numéro vedette du spectacle est incontestablement celui de l’équilibriste sur chaises sans oublier la présence de nombreux animaux comme les lamas ou les chameaux. Le cirque Zavatta présentera aussi un numéro de jonglerie antipodiste, c’est-à-dire avec les pieds. Le jeune Bryton du haut de ses 3 ans, plus jeune dresseur d’Europe présentera quant à lui un numéro avec des ânes et des lamas. Durée totale du spectacle : 1 h 45 avec entracte. Chapiteau chauffé. Représentation vendredi 3 avril à 18 h, samedi 4 à 16 h et dimanche 5 à 15 h et lundi 6 avril à 15 h. Tarif unique 10 € par personne en gradins et 15 € en loge. Ouverture de la billetterie à partir de 10 heures.
Dans l'enquête sur le meurtre de Sophie Borca, l'une des "Disparues de l'A26", les faisceaux de présomption se concentrent sur les hommes d'un village. Un ADN est recherché Il y a 30 ans, en 1985, Sophie Borca, 16 ans, et Christel Oudin, 13 ans et demi, toutes les deux scolarisées dans le même lycée de Saint-Quentin (Aisne), avaient disparu à cinq mois d'intervalle. Leurs corps avaient été retrouvés à proximité du chantier d'une autoroute. Un environnement qui vaudra à cette affaire l'appellation des "Disparues de l'A26". Un très vieux dossier, un "cold case" (dossier froid) comme on dit dans le jargon policier, qui connaît depuis quelques semaines un nouvel épisode, celui qui concerne l'enquête sur la mort d'une des deux jeunes filles, Sophie Borca, pourtant bouclée sans résultat en janvier 1989.
Elle voulait rentrer chez elle en auto-stop
Le 31 mai 1985, la jeune fille avait quitté le lycée Henri-Martin à Saint-Quentin. Elle voulait rentrer chez elle, à Guise, en auto-stop, mais n'arrivera jamais au domicile de ses parents. Vingt-trois jours plus tard, le 22 juin, le corps de la lycéenne Sophie Borca avait été retrouvé en partie dénudé dans un bois d'Homblières, à quelques kilomètres de Saint-Quentin. Et l'autopsie n'avait pas permis pas de déterminer les causes de sa mort. En 1998, la juge d'instruction de l'époque ordonne des analyses génétiques qui permettent d'isoler un ADN mitochondrial inconnu. Cette empreinte génétique est alors comparée avec celle d'une quinzaine de suspects apparus au fil du dossier, mais aucun test n'est concluant.
"Similitudes troublantes", l'enquête rouverte en 2012
Le 2 février 2012, vingt-sept ans après les faits, la justice rouvre les dossiers qu'elle estimait prescrits. Les avocats des familles Oudin et Borca sont parvenus à faire admettre les similitudes troublantes entre les deux disparitions. Christel Oudin, elle aussi lycéenne dans le même établissement de Saint-Quentin, avait aussi disparu en novembre 1985. Son corps démembré n'avait été retrouvé qu'en 1987. "Le parquet de Laon a finalement décidé de rouvrir l'enquête sur les deux disparues en raison de la possibilité que leur mort ait été causée par un même auteur. Au début de 2014, le corps de Sophie Borca a été exhumé, radiographié et à nouveau autopsié" raconte le journal l"Union. Une affaire également remise en lumière grâce à un documentaire de France Télévisions diffusé en février 2015, et visionnable avec la vidéo ci-dessous.
VIDEO - Dans l'enquête sur le meurtre de Sophie Borca, l'une des "Disparues de l'A26", les faisceaux de présomption se concentrent sur les hommes d'un village. Un ADN est recherché
Il y a 30 ans, en 1985, Sophie Borca, 16 ans, et Christel Oudin, 13 ans et demi, toutes les deux scolarisées dans le même lycée de Saint-Quentin (Aisne), avaient disparu à cinq mois d'intervalle. Leurs corps avaient été retrouvés à proximité du chantier d'une autoroute. Un environnement qui vaudra à cette affaire l'appellation des "Disparues de l'A26".Un très vieux dossier, un "cold case" (dossier froid) comme on dit dans le jargon policier, qui connaît depuis quelques semaines un nouvel épisode, celui qui concerne l'enquête sur la mort d'une des deux jeunes filles, Sophie Borca, pourtant bouclée sans résultat en janvier 1989.
"Similitudes troublantes", l'enquête rouverte en 2012
Le 2 février 2012, vingt-sept ans après les faits, la justice rouvre les dossiers qu'elle estimait prescrits. Les avocats des familles Oudin et Borca sont parvenus à faire admettre les similitudes troublantes entre les deux disparitions. Christel Oudin, elle aussi lycéenne dans le même établissement de Saint-Quentin, avait aussi disparu en novembre 1985. Son corps démembré n'avait été retrouvé qu'en 1987. "Le parquet de Laon a finalement décidé de rouvrir l'enquête sur les deux disparues en raison de la possibilité que leur mort ait été causée par un même auteur. Au début de 2014, le corps de Sophie Borca a été exhumé, radiographié et à nouveau autopsié" raconte le journal l"Union. Une affaire également remise en lumière grâce à un documentaire de France Télévisions diffusé en février 2015, et visionnable avec la vidéo ci-dessous.
Entre 250 et 300 personnes convoquées pour des prélèvements ADN
Ces dernières semaines, l'enquête sur la mort de Sophie Borca redevient concrète. Cinq enquêteurs de la section de recherches d'Amiens composent même une équipe spéciale à la demande d'un juge d'instruction. Les faisceaux de présomption se concentrent désormais sur le village d'Homblières, celui où l'on avait retrouvé le corps de la jeune fille, dans les bois.
"Quand on voit tous les prédateurs qui rôdent dans la nature, ce n'est bon pour personne"
"Entre 250 et 300 personnes, en âge de conduire et habitant Homblières en 1985, ont été contactées par la gendarmerie et convoquées. Outre un prélèvement d'ADN par bâtonnet, elles ont été soumises à un interrogatoire pour voir si d'autres éléments ne peuvent pas ressurgir" raconte ainsi Le Figaro, qui reprend également les propos du maire cette bourgade de 1500 habitants.
Il y a 30 ans, en 1985, Sophie Borca, 16 ans, et Christel Oudin, 13 ans et demi, toutes les deux scolarisées dans le même lycée de Saint-Quentin (Aisne), avaient disparu à cinq mois d'intervalle. Leurs corps avaient été retrouvés à proximité du chantier d'une autoroute. Un environnement qui vaudra à cette affaire l'appellation des "Disparues de l'A26".Un très vieux dossier, un "cold case" (dossier froid) comme on dit dans le jargon policier, qui connaît depuis quelques semaines un nouvel épisode, celui qui concerne l'enquête sur la mort d'une des deux jeunes filles, Sophie Borca, pourtant bouclée sans résultat en janvier 1989.
"Quand on voit tous les prédateurs qui rôdent dans la nature, ce n'est bon pour personne"
"Entre 250 et 300 personnes, en âge de conduire et habitant Homblières en 1985, ont été contactées par la gendarmerie et convoquées. Outre un prélèvement d'ADN par bâtonnet, elles ont été soumises à un interrogatoire pour voir si d'autres éléments ne peuvent pas ressurgir" raconte ainsi Le Figaro, qui reprend également les propos du maire cette bourgade de 1500 habitants "Je trouve très bien que l'on veuille retrouver le coupable. Quand on voit tous les prédateurs qui rôdent dans la nature, ce n'est bon pour personne", explique ainsi le premier magistrat Hugues Van Maële qui a dû se plier au test, il avait 30 ans au moment des faits.
"Pas mal d'habitants ont des choses à dire"
A la mi-mars, les gendarmes ont commencé les prélèvements ADN dans la village. Ils disposent d'un ADN extrait d'un cheveu découvert sur le corps de l'adolescente. Peut-être celui du tueur. Une opération qui vise également à récolter des témoignages sur cette époque, pour, avec le temps, briser la loi du silence qui plane sur les lieux depuis maintenant trente longues années. "Remuer le passé pour permettre d'obtenir de nouveaux éléments, de nouveaux témoignages. Et selon nos informations, pas mal d'habitants ont des choses à dire sur cette période" écrit ainsi L'Aisne Nouvelle. Mener une campagne de prélèvements ADN n'est pas nouveau en France. Le procédé avait par exemple été utilisé lors de l'Affaire Dickinson en 1997, ou encore plus récemment dans la région dans une affaire de viol dans un lycée de La Rochelle. Dans ces deux cas, les prélèvements n'avaient pas permis de dénicher le coupable. http://www.sudouest.fr/2015/04/02/cold-case-dans-l-aisne-30-ans-apres-le-meurtre-un-adn-est-recherche-1878597-7.php
Inutile de lui amener des fleurs, Grégory Gadebois, lauréat du Molière "seul en scène" 2014, a déjà tout prévu pour Algernon. Des fleurs pour Algernon, c'est samedi 11 avril à 20h30 au théâtre du Familistère. Information et réservation au 03.23.61.35.36