Après un mois et demi à l’hôpital, ce retraité de Guise a retrouvé sa maison complètement retournée. Dans la nuit du 27 au 28 mars 2014, ses deux téléviseurs ont disparu ainsi qu’un caméscope, un décodeur et une partie de sa cave à vins. Le même soir, Jordy, 20 ans, est aperçu dans la ville avec la télévision écran plat sous le bras. Il passera vite aux aveux devant les gendarmes mouillant au passage son copain Jimmy tout juste majeur.
Les deux garçons ont comparu ce mardi devant le tribunal correctionnel de Saint-Quentin. Jimmy a préféré garder le silence laissant à son ami le soin de retracer leur virée nocturne. A l’entendre, tout s’est passé le plus simplement du monde. « Bah, on est passé devant la maison, la fenêtre était ouverte et hop j’y suis allé. J’ai pris une télé, le reste ce n’est pas nous. » Selon lui, une autre équipe était déjà passée avant. Il est vrai que tout Guise croyait que le senior était décédé.
Mais la victime, bien vivante, est formelle. Il n’était que deux à faire ça. : « Les experts l’ont dit, ils sont passés par la porte en la forçant avec des tournevis et sont ressortis par la fenêtre ce n’est pas pareil. »
Le jeune homme jure pourtant que la fenêtre était ouverte, comme si ça allait alléger la sentence. « En même temps, c’était ouvert il n’y avait pas d’effraction. » Ce ton désinvolte a fait bondir l’une des juges tout comme le procureur : « Ils
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Bonjour Francis
RépondreSupprimerQue d'actes méchants de nos jours
Ce pauvre homme en plus d'avoir des ennuis de santé est cambriolé.
Ce n'est pas seulement ce qui est volé le pire, mais ce qu'on ressent quand on voit le désordre, quand on sait que des personnes ont touchés à notre intimité.
Ce jeune a un fameux culot de dire que c'était ouvert. Je ne savais pas que cela rendait le vol moins grave. Ils méritent une punition importante mais là je doute que ce soit ce qui arrivera..
Je te souhaite une bonne journée
Bises
Francine
Où est l'époque où l'on pouvait quitter son domicile en ayant ou non fermé à clé la porte d'entrée ? C'était notre LIBERTE. On ne redoutait pas les intrusions. On partait en vacances la clé sous le paillasson. Aujourd'hui on se barricade avant chaque départ.
RépondreSupprimerSociété en déliquescence... Je veux, je prends... Je ne crains plus l'autorité.
Ce n'est pas rêver au passé, ce n'est pas être nostalgique, mais simplement réaliste et triste.
Cordialement.
merci de ce commentaire
RépondreSupprimernous ne vivons plus la même époque et plus personne ne respecte les valeurs que nos parents nous ont inculqué !
bonne fin de journée
cordialement
francis