J'y ai vécu... travaillé... je me souviens...vous me suivez ? Revue de la presse régionale et nationale sur tout ce qui a un trait avec Guise ... la ville de mon adolescence ...
jeudi 29 août 2013
mardi 27 août 2013
Rentrée fracassante et victorieuse pour l'Union sportive
Vendredi à 17 heures, une rencontre amicale a eu lieu au stade des Coutures entre les joueurs U13 et la formation du nord de St/Souplet.
Les dirigeants avaient décidé de décomposer la rencontre en 3 périodes de 20 minutes, afin de permettre de travailler les automatismes entre les anciens joueurs, les enfants qui montent d'une catégorie et les nouveaux arrivants. Les deux premières mi-temps ont permis d'essayer plusieurs schémas tactiques afin de jauger les jeunes guisards à différents postes. Le score était de 2 à 0 pour les locaux (2 buts d Alexis Fauchart). Durant la 3e période, le physique des jeunes guisards prenait le dessus sur leur adversaire. Sur quasiment chaque attaque, les rouges concrétisaient leurs offensives par un but, ce qui donna un score final de 8 à 1, une belle performance, après une semaine d'entraînement.
Samedi, les hommes du nouvel entraîneur Thierry Bastin de l'US Guise disputaient leur 5e rencontre amicale contre l'équipe de Fourmies au stade Marcel Prévot, une équipe de jeune nordiste âgée de 17 ans à 20 ans. Ces jeunes ont encaissé 3 buts en 10 minutes grâce au doublé d'Alexandre Delettre et Maxime Sauvage. La première mi-temps s'achevait par un nouveau but de Jérôme Corbizet 4 à 0.
La seconde période fut aussi très favorable aux Guisards et les nouveaux joueurs entrés sur le terrain se distinguèrent très vite. Yannick Brunet et le jeune de Nardia et Scella ont renvoyé l'adversaire au vestiaire sur un score final de 7 à 0 réconfortant ainsi tous les curieux venus voir ce qu'aller donner cette saison pour les supporters.
Samedi 31 août au stade Marcel Prévost les jeunes U13 et U15 affronteront Caudry à partir de 14h30. Les seniors rencontreront contre Aulnoye/Aymeries vers 18 heures.
http://www.aisnenouvelle.fr/article/guise/rentree-fracassante-et-victorieuse-pour-lunion-sportive
Les dirigeants avaient décidé de décomposer la rencontre en 3 périodes de 20 minutes, afin de permettre de travailler les automatismes entre les anciens joueurs, les enfants qui montent d'une catégorie et les nouveaux arrivants. Les deux premières mi-temps ont permis d'essayer plusieurs schémas tactiques afin de jauger les jeunes guisards à différents postes. Le score était de 2 à 0 pour les locaux (2 buts d Alexis Fauchart). Durant la 3e période, le physique des jeunes guisards prenait le dessus sur leur adversaire. Sur quasiment chaque attaque, les rouges concrétisaient leurs offensives par un but, ce qui donna un score final de 8 à 1, une belle performance, après une semaine d'entraînement.
Samedi, les hommes du nouvel entraîneur Thierry Bastin de l'US Guise disputaient leur 5e rencontre amicale contre l'équipe de Fourmies au stade Marcel Prévot, une équipe de jeune nordiste âgée de 17 ans à 20 ans. Ces jeunes ont encaissé 3 buts en 10 minutes grâce au doublé d'Alexandre Delettre et Maxime Sauvage. La première mi-temps s'achevait par un nouveau but de Jérôme Corbizet 4 à 0.
La seconde période fut aussi très favorable aux Guisards et les nouveaux joueurs entrés sur le terrain se distinguèrent très vite. Yannick Brunet et le jeune de Nardia et Scella ont renvoyé l'adversaire au vestiaire sur un score final de 7 à 0 réconfortant ainsi tous les curieux venus voir ce qu'aller donner cette saison pour les supporters.
Samedi 31 août au stade Marcel Prévost les jeunes U13 et U15 affronteront Caudry à partir de 14h30. Les seniors rencontreront contre Aulnoye/Aymeries vers 18 heures.
http://www.aisnenouvelle.fr/article/guise/rentree-fracassante-et-victorieuse-pour-lunion-sportive
mardi 20 août 2013
Le foot prépare sa rentrée
Une foule généreuse est venue au stade Marcel Prévôt vendredi dernier pour assister au match de Guise face à Vervins. Pour le coach, Thierry Bastin, c'est le deuxième match de préparation après trois semaines de physique et d'exercices . Avec un nouveau staff et une direction ambitieuse, le club de Guise veut partir sur de nouvelles bases pour la saison qui va débuter le 8 septembre prochain.Guise va affronter le RC Amiens.
La première mi-temps du match fut faible en occasion de but. Les défenses prenaient le pas sur les attaques des deux formations.
Le jeune Jordan Licette âgé de 16 ans représente une belle promesse pour l'équipe Guisarde. Après les premières 45 minutes de match, les locaux ont pu placer des attaques grâce au duo Dermont-Brunet, mais le portier Vervinois vigilant repoussait toute tentative. Cette partie se termina par un match nul 0-0. Prochain match à domicile : Guise/Fourmies samedi 24 août à 15h30.
http://www.aisnenouvelle.fr/article/guise/le-foot-prepare-sa-rentree
La première mi-temps du match fut faible en occasion de but. Les défenses prenaient le pas sur les attaques des deux formations.
Le jeune Jordan Licette âgé de 16 ans représente une belle promesse pour l'équipe Guisarde. Après les premières 45 minutes de match, les locaux ont pu placer des attaques grâce au duo Dermont-Brunet, mais le portier Vervinois vigilant repoussait toute tentative. Cette partie se termina par un match nul 0-0. Prochain match à domicile : Guise/Fourmies samedi 24 août à 15h30.
http://www.aisnenouvelle.fr/article/guise/le-foot-prepare-sa-rentree
lundi 19 août 2013
dimanche 18 août 2013
vendredi 16 août 2013
Sus aux déchets !
Voilà une initiative qui ne fait pas de mal aux espaces verts. La semaine dernière, emmenés par Emmanuel Maret, 11 enfants de 10 à 16 ans ont fait la chasse aux déchets abandonnés à proximité de McDonald's. Dans une ambiance ludique rappelant la chasse aux œufs de Pâques, les jeunes étaient ravis.
Pour François-Xavier Favaudon, directeur de la communauté de communes (CCRG) qui organisait l'opération, il s'agissait de « les sensibiliser au tri sélectif, avec des sacs noirs pour les déchets non-recyclables, des jaunes pour le recyclable et une benne spéciale pour le verre. »
Cette opération avait lieu à la demande des jeunes volontaires et devrait prochainement être reconduite avec tous ceux qui n'ont pas pu participer cette fois-ci.
http://www.aisnenouvelle.fr/article/guise/sus-aux-dechets
Pour François-Xavier Favaudon, directeur de la communauté de communes (CCRG) qui organisait l'opération, il s'agissait de « les sensibiliser au tri sélectif, avec des sacs noirs pour les déchets non-recyclables, des jaunes pour le recyclable et une benne spéciale pour le verre. »
Cette opération avait lieu à la demande des jeunes volontaires et devrait prochainement être reconduite avec tous ceux qui n'ont pas pu participer cette fois-ci.
http://www.aisnenouvelle.fr/article/guise/sus-aux-dechets
jeudi 15 août 2013
Au château, des vacances… à la pelle
Ils ont entre 13 et 20 ans, viennent de toute la France et même d’ailleurs. Avec une passion commune qui les anime pendant 2, 3 voire 4 semaines : restaurer le château à la force des bras. Tous rêvent déjà de revenir l’année prochaine.
C'est une histoire d'amitié et de passion partagée. Une histoire vieille de 60 ans. Depuis le premier camp « chantier patrimoine » en 1952 et la création du Club du Vieux-Manoir en 1953, pas moins de 55 000 jeunes ont apporté leur contribution aux travaux du château fort de Guise.
« C'est comme des colonies de vacances, image le directeur du site Nicolas Menneray, mais au lieu de faire de la planche à voile, on fait de l'archéologie et de la taille de pierre. »
En ce moment, l'essentiel du travail consiste à débroussailler, poser des pavés et faire de la maçonnerie. Les jeunes passionnés s'occupent aussi de guider les visiteurs. C'est le cas de Nathan, un Amiénois de 13 ans arrivé il y a deux semaines, et reparti samedi.
Après seulement quelques jours sur place, il était devenu le plus jeune guide du château. De quoi déconcerter les visiteurs auprès desquels, assure un encadrant, « Nathan parvient très bien à se faire respecter. »
« Les visiteurs sont très différents, remarque l'adolescent. Certains posent plus de questions que d'autres, quand je n'ai pas la réponse, je me renseigne. Ils sont souvent étonnés par mon âge, être emmené par un enfant peut être déconcertant je me mets à leur place. »
Mais c'est aussi une façon de faire la promotion des chantiers. « Lorsque je guide des couples avec un ado, ils repartent souvent avec le dépliant sur les chantiers » souligne le garçon.
Un profond lien d'amitié
Plus loin, un autre groupe s'attelle à couper des arbres. Une tâche éprouvante que compense une vue imprenable sur la ville.
Certains viennent chaque année depuis 4 ans. Pour d'autres, c'est le premier chantier. Mais tous prévoient de revenir. « Bien sûr, c'est plus fatiguant que de partir en colo, sourit Benjamin, de la Sarthe, qui est là depuis 2 semaines et s'est laissé convaincre par sa grande sœur. Mais c'est beaucoup mieux, ici on apprend à se connaître, on se rend utile. Je suis un peu déçu de devoir partir. »
« C'est surtout que je vais te manquer », s'exclame Zoé, 17 ans, pour qui c'est le 2e chantier. Pour la Dunkerquoise, qui prépare le Bafa (diplôme des animateurs), il s'agit surtout d'apprendre à encadrer, gérer l'intendance et les règles de sécurité d'un chantier.
Si chacun y trouve son compte, le point commun reste le lien amical qui lie tous les bénévoles.
« On fait des rencontres super. En revenant, on retrouve parfois les mêmes, et on se fait de nouveaux contacts. Surtout, on peut suivre la progression des chantiers », appuie Maël qui revient depuis 4 ans.
Une occasion rêvée d’apprendre le français
Louiza et Julia sont Hollandaises. Après avoir pris connaissance des chantiers du Club du Vieux-Manoir par le biais de leur père qui est parti à Briançon dans sa jeunesse, elles ont fait la route depuis Utrecht, dans le centre des Pays-Bas, et viennent de passer deux semaines au château.
Dans un anglais impeccable, les deux sœurs, âgées respectivement de 15 et 13 ans, affirment s’être « beaucoup amusées. Surtout avec ma sœur qui vient pour la première fois, sourit Louiza pour qui c’est le 2e chantier. Ici, on rencontre plein de nouveaux amis et on améliore notre français. »
Un travail qui se fait surtout en écoutant les autres parler. En effet, par commodité « les autres jeunes leur parlent surtout en anglais », note Nicolas Menneray.
Après tout, cela permet aussi aux autres de pratiquer la langue de Shakespeare et ne pose aucun problème aux deux sœurs qui, déjà bilingues (néerlandais et polonais), ont des facilités avec les langues étrangères.
Reste que les deux adolescentes s’apprêtent à repartir avec de très bons souvenirs et assurent vouloir revenir. « C’est pratique et rassurant, poursuit l’aînée, car ici, on connaît du monde et l’endroit nous est désormais familier. »
La grande inconnue reste de savoir si elles reviendront à deux seulement, ou avec des amies. « Cela demande réflexion, soupire Julia, la plus jeune. En fait, quand on parle des chantiers, nos amis trouvent bizarre que l’on veuille travailler alors que c’est les vacances. »
Apprendre pour enseigner à son tour
D’un côté, Hugo, 13 ans, est un collégien en vacances qui vient de Perpignan. Arrivé le 27 juillet, Il est reparti ce week-end.
De l’autre, Jérôme, 28 ans, vient de finir sa thèse en archéologie. Lillois d’origine, il a 12 années de chantiers derrière lui et maîtrise parfaitement la maçonnerie. Il œuvre en qualité d’encadrant et de formateur technique.
La semaine dernière, tous deux travaillaient de concert à la rénovation d’un mur en pierre et en briques anciennes.
« J’ai fait du débroussaillage, posé des pavés, mais c’est la maçonnerie qui me plaît le plus », explique le jeune garçon qui prévoit déjà de revenir avec son frère dans un an.
« Hugo est bon en maçonnerie, se réjouit l’animateur, il y a une sacrée différence entre son arrivée et maintenant. En terme de rapidité, c’est du simple au double, et je n’ai pas besoin de repasser derrière lui. »
Pourtant, le travail n’est pas simple. Les volontaires ne travaillent qu’avec des briques de récupération, trouvées in situ. Il faut bien choisir sa brique, la nettoyer sans la briser, et la poser correctement.
« Former les jeunes comme j’ai été formé moi-même »
Cela s’apprend, et c’est le rôle de Jérôme qui a lui-même appris sur un chantier. « j’ai commencé à 16 ans à Guise, puis j’ai passé le Bafa et le Bafd. Je suis ainsi devenu animateur, puis directeur de chantiers au Club. J’ai dû arrêter de diriger pour me consacrer à la thèse et là, je suis de retour. » poursuit celui qui veut « former les jeunes comme j’ai été formé moi-même. »
« Sur 60 ans, les premiers ont appris avec des maçons professionnels, et depuis, chacun enseigne à tous ceux qui veulent apprendre. Plus on pratique, mieux on y arrive. »
Ainsi, Jérôme, Hugo et d’autres jeunes ont, en quelques jours, bâti plus d’un mètre de mur, redonnant à cette partie du château son caractère d’antan. Vendredi après-midi, ils terminaient la rénovation d’une cheminée d’aération « pour quelque chose qui se trouve en dessous, mais on ne sait pas quoi »
En effet, de nombreuses salles sont encore remplies de terre. Impossible de savoir à quoi servait celle au-dessus de laquelle travaillent les apprentis maçons.
Un mystère parmi tant d’autres qui, finalement, fait le charme du château, et le succès de ses chantiers.
http://www.aisnenouvelle.fr/article/autre-actu/au-chateau-des-vacances-a-la-pelle
C'est une histoire d'amitié et de passion partagée. Une histoire vieille de 60 ans. Depuis le premier camp « chantier patrimoine » en 1952 et la création du Club du Vieux-Manoir en 1953, pas moins de 55 000 jeunes ont apporté leur contribution aux travaux du château fort de Guise.
« C'est comme des colonies de vacances, image le directeur du site Nicolas Menneray, mais au lieu de faire de la planche à voile, on fait de l'archéologie et de la taille de pierre. »
En ce moment, l'essentiel du travail consiste à débroussailler, poser des pavés et faire de la maçonnerie. Les jeunes passionnés s'occupent aussi de guider les visiteurs. C'est le cas de Nathan, un Amiénois de 13 ans arrivé il y a deux semaines, et reparti samedi.
Après seulement quelques jours sur place, il était devenu le plus jeune guide du château. De quoi déconcerter les visiteurs auprès desquels, assure un encadrant, « Nathan parvient très bien à se faire respecter. »
« Les visiteurs sont très différents, remarque l'adolescent. Certains posent plus de questions que d'autres, quand je n'ai pas la réponse, je me renseigne. Ils sont souvent étonnés par mon âge, être emmené par un enfant peut être déconcertant je me mets à leur place. »
Mais c'est aussi une façon de faire la promotion des chantiers. « Lorsque je guide des couples avec un ado, ils repartent souvent avec le dépliant sur les chantiers » souligne le garçon.
Un profond lien d'amitié
Plus loin, un autre groupe s'attelle à couper des arbres. Une tâche éprouvante que compense une vue imprenable sur la ville.
Certains viennent chaque année depuis 4 ans. Pour d'autres, c'est le premier chantier. Mais tous prévoient de revenir. « Bien sûr, c'est plus fatiguant que de partir en colo, sourit Benjamin, de la Sarthe, qui est là depuis 2 semaines et s'est laissé convaincre par sa grande sœur. Mais c'est beaucoup mieux, ici on apprend à se connaître, on se rend utile. Je suis un peu déçu de devoir partir. »
« C'est surtout que je vais te manquer », s'exclame Zoé, 17 ans, pour qui c'est le 2e chantier. Pour la Dunkerquoise, qui prépare le Bafa (diplôme des animateurs), il s'agit surtout d'apprendre à encadrer, gérer l'intendance et les règles de sécurité d'un chantier.
Si chacun y trouve son compte, le point commun reste le lien amical qui lie tous les bénévoles.
« On fait des rencontres super. En revenant, on retrouve parfois les mêmes, et on se fait de nouveaux contacts. Surtout, on peut suivre la progression des chantiers », appuie Maël qui revient depuis 4 ans.
Une occasion rêvée d’apprendre le français
Louiza et Julia sont Hollandaises. Après avoir pris connaissance des chantiers du Club du Vieux-Manoir par le biais de leur père qui est parti à Briançon dans sa jeunesse, elles ont fait la route depuis Utrecht, dans le centre des Pays-Bas, et viennent de passer deux semaines au château.
Dans un anglais impeccable, les deux sœurs, âgées respectivement de 15 et 13 ans, affirment s’être « beaucoup amusées. Surtout avec ma sœur qui vient pour la première fois, sourit Louiza pour qui c’est le 2e chantier. Ici, on rencontre plein de nouveaux amis et on améliore notre français. »
Un travail qui se fait surtout en écoutant les autres parler. En effet, par commodité « les autres jeunes leur parlent surtout en anglais », note Nicolas Menneray.
Après tout, cela permet aussi aux autres de pratiquer la langue de Shakespeare et ne pose aucun problème aux deux sœurs qui, déjà bilingues (néerlandais et polonais), ont des facilités avec les langues étrangères.
Reste que les deux adolescentes s’apprêtent à repartir avec de très bons souvenirs et assurent vouloir revenir. « C’est pratique et rassurant, poursuit l’aînée, car ici, on connaît du monde et l’endroit nous est désormais familier. »
La grande inconnue reste de savoir si elles reviendront à deux seulement, ou avec des amies. « Cela demande réflexion, soupire Julia, la plus jeune. En fait, quand on parle des chantiers, nos amis trouvent bizarre que l’on veuille travailler alors que c’est les vacances. »
Apprendre pour enseigner à son tour
D’un côté, Hugo, 13 ans, est un collégien en vacances qui vient de Perpignan. Arrivé le 27 juillet, Il est reparti ce week-end.
De l’autre, Jérôme, 28 ans, vient de finir sa thèse en archéologie. Lillois d’origine, il a 12 années de chantiers derrière lui et maîtrise parfaitement la maçonnerie. Il œuvre en qualité d’encadrant et de formateur technique.
La semaine dernière, tous deux travaillaient de concert à la rénovation d’un mur en pierre et en briques anciennes.
« J’ai fait du débroussaillage, posé des pavés, mais c’est la maçonnerie qui me plaît le plus », explique le jeune garçon qui prévoit déjà de revenir avec son frère dans un an.
« Hugo est bon en maçonnerie, se réjouit l’animateur, il y a une sacrée différence entre son arrivée et maintenant. En terme de rapidité, c’est du simple au double, et je n’ai pas besoin de repasser derrière lui. »
Pourtant, le travail n’est pas simple. Les volontaires ne travaillent qu’avec des briques de récupération, trouvées in situ. Il faut bien choisir sa brique, la nettoyer sans la briser, et la poser correctement.
« Former les jeunes comme j’ai été formé moi-même »
Cela s’apprend, et c’est le rôle de Jérôme qui a lui-même appris sur un chantier. « j’ai commencé à 16 ans à Guise, puis j’ai passé le Bafa et le Bafd. Je suis ainsi devenu animateur, puis directeur de chantiers au Club. J’ai dû arrêter de diriger pour me consacrer à la thèse et là, je suis de retour. » poursuit celui qui veut « former les jeunes comme j’ai été formé moi-même. »
« Sur 60 ans, les premiers ont appris avec des maçons professionnels, et depuis, chacun enseigne à tous ceux qui veulent apprendre. Plus on pratique, mieux on y arrive. »
Ainsi, Jérôme, Hugo et d’autres jeunes ont, en quelques jours, bâti plus d’un mètre de mur, redonnant à cette partie du château son caractère d’antan. Vendredi après-midi, ils terminaient la rénovation d’une cheminée d’aération « pour quelque chose qui se trouve en dessous, mais on ne sait pas quoi »
En effet, de nombreuses salles sont encore remplies de terre. Impossible de savoir à quoi servait celle au-dessus de laquelle travaillent les apprentis maçons.
Un mystère parmi tant d’autres qui, finalement, fait le charme du château, et le succès de ses chantiers.
http://www.aisnenouvelle.fr/article/autre-actu/au-chateau-des-vacances-a-la-pelle
mardi 13 août 2013
Mélodie, un exemple de courage et de volonté
Jadis en difficulté, une élève a décidé de prendre en main son destin. Avec l’aide de ses parents et de son professeur, elle a quitté la Segpa et décroché son brevet.
C'est l'histoire d'une réussite pas banale. Un parcours jalonné d'efforts et de larmes, mais couronné de fierté.
Après quatre années de collège en section d'enseignement général et professionnel adapté (Segpa), Mélodie Duprès a fait le pari d'une troisième générale et vient de décrocher son diplôme national du brevet (DNB). Un revirement courageux qui ne s'est pas fait sans mal.
A l'école primaire, peu studieuse, l'écolière de Fesmy-le-Sart accumule les difficultés scolaires. Elle redouble son année de CE2 et, arrivée en CM2, on l'oriente vers une Segpa.
Méconnue, cette filière adaptée fait peur. Cette orientation est d'abord vécue comme un couperet qui tombe pour la jeune fille.
Mais en arrivant au collège Camille Desmoulins de Guise, elle découvre une ambiance cordiale qui la met en confiance et, pendant quatre années, ses résultats sont excellents.
« Elle tournait toujours entre 15 et 17 de moyenne », sourit sa maman, Christine.
Le problème est venu des débouchés après le collège.
« En général, on propose un CAP après la 3e Segpa, explique Bruno Merda, enseignant dans cette filière à Guise. Mais rien ne plaisait à Mélodie dans les filières professionnelles. Un bac pro est bien possible, mais à condition de faire un CAP avant, il faut donc 4 ou 5 ans pour y parvenir. »
2 ans de retard à rattraper
Devant cette impasse, la jeune fille qui rêve d'un bac pro commerce, poussée par son frère qui passe, lui, son bac S, décide de réintégrer une filière généraliste.
Avec l'appui de M. Merda, elle obtient du rectorat l'autorisation de doubler sa 3e pour passer le brevet. Carte scolaire oblige, elle migre alors vers le collège du Nouvion-en-Thiérache où elle se confronte à de nouvelles difficultés.
« D'abord, j'ai eu des cours, comme l'Allemand, que je n'avais jamais eus, et concernant l'Anglais par exemple, j'avais 2 ans de retard sur les autres élèves, se souvient l'adolescente. En plus, j'avais 16 ans et mes camarades de classe en avaient 13. »
Difficile donc de se faire des relations. Sans compter le regard des autres élèves. « Quand on vient de Segpa, on se sent moins que rien, soupire Mélodie. »
Mais à force de cours par correspondance, et de volonté, elle parvient tout de même à maintenir une moyenne honorable.
Pendant ce temps, son ancien prof se tient informé par courriel, ses parents la soutiennent de leur mieux, et elle, se bat de toutes ses forces.
« Pour réussir, il faut avoir un sérieux soutien des parents, ce n'est pas donné à tout le monde », appuie Bruno Merda.
De son côté, Christine Duprès salue l'investissement d'« un prof comme il en existe peu ».
Reste que la jeune fille, qui aura 17 ans cet été, peut enfin souffler. Titulaire du Certificat de formation générale, obtenu l'année dernière, et du DNB décroché cette année, elle va pouvoir dés l'année prochaine s'inscrire en bac pro commerce, et dans la foulée, préparer un BTS.
Son objectif à terme ? Devenir gérante d'un « grand magasin de vêtements ».
Mais au delà de la réussite personnelle, il y a la victoire sur un système parfois trop rigide. En témoigne le parcours du combattant qui a permis à l'élève de revenir dans un cursus général.
« L'éducation nationale n'aime pas forcément que l'on sorte des sentiers battus » regrette la mère de Mélodie.
Du coup, ce cas d'école crée un précédent, qui « inspire déjà d'autres élèves de Segpa », témoigne Bruno Merda.
Et si tous n'ont pas le soutien nécessaire pour réussir un tel challenge, l'histoire de Mélodie pourrait bien redorer le blason d'une filière qui a fait ses preuves, mais souffre encore d'un cruel manque de considération.
LA SEGPA EN QUELQUES POINTS
La section Segpa représente environ 20 % des élèves du collège Desmoulins de Guise.
Les enseignants sont des professeurs des écoles formés spécialement pour cette filière. Des profs de collège interviennent également, pour les langues notamment.
La plupart des élèves de Segpa sont orientés vers des CAP ou des CFA (apprentissage)
1500 collèges publics proposent une Segpa pour un peu plus de 90 000 élèves.
Les élèves intégrant une Segpa doivent avoir doublé une année en primaire.
http://www.aisnenouvelle.fr/article/societe/melodie-un-exemple-de-courage-et-de-volonte
C'est l'histoire d'une réussite pas banale. Un parcours jalonné d'efforts et de larmes, mais couronné de fierté.
Après quatre années de collège en section d'enseignement général et professionnel adapté (Segpa), Mélodie Duprès a fait le pari d'une troisième générale et vient de décrocher son diplôme national du brevet (DNB). Un revirement courageux qui ne s'est pas fait sans mal.
A l'école primaire, peu studieuse, l'écolière de Fesmy-le-Sart accumule les difficultés scolaires. Elle redouble son année de CE2 et, arrivée en CM2, on l'oriente vers une Segpa.
Méconnue, cette filière adaptée fait peur. Cette orientation est d'abord vécue comme un couperet qui tombe pour la jeune fille.
Mais en arrivant au collège Camille Desmoulins de Guise, elle découvre une ambiance cordiale qui la met en confiance et, pendant quatre années, ses résultats sont excellents.
« Elle tournait toujours entre 15 et 17 de moyenne », sourit sa maman, Christine.
Le problème est venu des débouchés après le collège.
« En général, on propose un CAP après la 3e Segpa, explique Bruno Merda, enseignant dans cette filière à Guise. Mais rien ne plaisait à Mélodie dans les filières professionnelles. Un bac pro est bien possible, mais à condition de faire un CAP avant, il faut donc 4 ou 5 ans pour y parvenir. »
2 ans de retard à rattraper
Devant cette impasse, la jeune fille qui rêve d'un bac pro commerce, poussée par son frère qui passe, lui, son bac S, décide de réintégrer une filière généraliste.
Avec l'appui de M. Merda, elle obtient du rectorat l'autorisation de doubler sa 3e pour passer le brevet. Carte scolaire oblige, elle migre alors vers le collège du Nouvion-en-Thiérache où elle se confronte à de nouvelles difficultés.
« D'abord, j'ai eu des cours, comme l'Allemand, que je n'avais jamais eus, et concernant l'Anglais par exemple, j'avais 2 ans de retard sur les autres élèves, se souvient l'adolescente. En plus, j'avais 16 ans et mes camarades de classe en avaient 13. »
Difficile donc de se faire des relations. Sans compter le regard des autres élèves. « Quand on vient de Segpa, on se sent moins que rien, soupire Mélodie. »
Mais à force de cours par correspondance, et de volonté, elle parvient tout de même à maintenir une moyenne honorable.
Pendant ce temps, son ancien prof se tient informé par courriel, ses parents la soutiennent de leur mieux, et elle, se bat de toutes ses forces.
« Pour réussir, il faut avoir un sérieux soutien des parents, ce n'est pas donné à tout le monde », appuie Bruno Merda.
De son côté, Christine Duprès salue l'investissement d'« un prof comme il en existe peu ».
Reste que la jeune fille, qui aura 17 ans cet été, peut enfin souffler. Titulaire du Certificat de formation générale, obtenu l'année dernière, et du DNB décroché cette année, elle va pouvoir dés l'année prochaine s'inscrire en bac pro commerce, et dans la foulée, préparer un BTS.
Son objectif à terme ? Devenir gérante d'un « grand magasin de vêtements ».
Mais au delà de la réussite personnelle, il y a la victoire sur un système parfois trop rigide. En témoigne le parcours du combattant qui a permis à l'élève de revenir dans un cursus général.
« L'éducation nationale n'aime pas forcément que l'on sorte des sentiers battus » regrette la mère de Mélodie.
Du coup, ce cas d'école crée un précédent, qui « inspire déjà d'autres élèves de Segpa », témoigne Bruno Merda.
Et si tous n'ont pas le soutien nécessaire pour réussir un tel challenge, l'histoire de Mélodie pourrait bien redorer le blason d'une filière qui a fait ses preuves, mais souffre encore d'un cruel manque de considération.
LA SEGPA EN QUELQUES POINTS
La section Segpa représente environ 20 % des élèves du collège Desmoulins de Guise.
Les enseignants sont des professeurs des écoles formés spécialement pour cette filière. Des profs de collège interviennent également, pour les langues notamment.
La plupart des élèves de Segpa sont orientés vers des CAP ou des CFA (apprentissage)
1500 collèges publics proposent une Segpa pour un peu plus de 90 000 élèves.
Les élèves intégrant une Segpa doivent avoir doublé une année en primaire.
http://www.aisnenouvelle.fr/article/societe/melodie-un-exemple-de-courage-et-de-volonte
dimanche 11 août 2013
Un bilan exceptionnel pour les 8es Ducales
Les Ducales sont un événement majeur pour la notoriété de la ville. Avec près de 5 000 visiteurs, les retombées sont notables.
Une année record. A l'image du soleil, la 8e édition des Ducales a rayonné sur Guise ce week-end, et ses retombées sont remarquables.
Les Ducales, c'est d'abord le château bien sûr, où se déroulent la plupart des manifestations médiévales pendant les deux jours.
Cette année, le beau temps a attiré pas moins de 2000 visiteurs sur le site, selon son directeur Nicolas Maineray qui se base sur le nombre de billets vendus.
« C'est pareil que l'année dernière, qui était déjà la meilleure que l'on ait faite » se réjouit le responsable. En effet, les années précédentes tournaient autour de 1000 à 1500 personnes selon la météo, ce qui représente cette année une hausse de 30 % en moyenne.
En outre, les 170 repas médiévaux servis au château constituent aussi un record.
Reste que beaucoup de visiteurs ne sont pas montés au château, si l'on en croit l'office de tourisme qui évalue à près de 5 000 le nombre de personnes venues profiter des diverses manifestations de rue.
Des spectacles qui ont « mieux marché que l'année dernière » précise l'office du tourisme qui souligne aussi un bilan mitigé » pour les commerçants. « Certains artisans ont bien travaillé, d'autres moins. Les crêpes et gaufres notamment se sont moins vendues qu'en 2012 en raison de la chaleur. »
Du côté de la restauration en ville, le constat est similaire. Au jardin, un peu excentré par rapport aux festivités, on estime avoir « moins travaillé que l'année dernière, les gens se baladent mais ne viennent pas forcément manger. Pour nous c'était un week-end normal, rien de plus. Mais on est content quand même, c'est une bonne chose pour la ville. »
« Chaque patrimoine soutient l'autre »
En effet, le flux des touristes attirés par les Ducales a bénéficié à un autre site guisard : le Familistère.
Avec quelque 400 visiteurs sur les deux jours, le premier musée de l'Aisne a fait « un beau week-end, le meilleur de l'été. On bénéficie des gens qui viennent de loin et en profitent pour visiter » note Alexandre Vitel, qui remarque une réciprocité entre les deux sites historiques.
« On travaille très bien avec le château, poursuit le responsable, les Ducales apportent une notoriété à Guise, beaucoup de gens se garent au Familistère. La proximité entre les sites joue aussi. Le week-end des Ducales est toujours un gros week-end pour nous. En somme, chaque patrimoine soutient l'autre. »
Une réciprocité confirmée par Nicolas Maineray qui constate lui aussi une affluence accrue au château lors des festivités du 1er mai au Familistère.
Cette interaction rappelle combien les sites touristiques dépendent les uns des autres, et place Guise au cœur d'un cercle vertueux.
http://www.aisnenouvelle.fr/article/autre-actu/un-bilan-exceptionnel-pour-les-8es-ducales
Une année record. A l'image du soleil, la 8e édition des Ducales a rayonné sur Guise ce week-end, et ses retombées sont remarquables.
Les Ducales, c'est d'abord le château bien sûr, où se déroulent la plupart des manifestations médiévales pendant les deux jours.
Cette année, le beau temps a attiré pas moins de 2000 visiteurs sur le site, selon son directeur Nicolas Maineray qui se base sur le nombre de billets vendus.
« C'est pareil que l'année dernière, qui était déjà la meilleure que l'on ait faite » se réjouit le responsable. En effet, les années précédentes tournaient autour de 1000 à 1500 personnes selon la météo, ce qui représente cette année une hausse de 30 % en moyenne.
En outre, les 170 repas médiévaux servis au château constituent aussi un record.
Reste que beaucoup de visiteurs ne sont pas montés au château, si l'on en croit l'office de tourisme qui évalue à près de 5 000 le nombre de personnes venues profiter des diverses manifestations de rue.
Des spectacles qui ont « mieux marché que l'année dernière » précise l'office du tourisme qui souligne aussi un bilan mitigé » pour les commerçants. « Certains artisans ont bien travaillé, d'autres moins. Les crêpes et gaufres notamment se sont moins vendues qu'en 2012 en raison de la chaleur. »
Du côté de la restauration en ville, le constat est similaire. Au jardin, un peu excentré par rapport aux festivités, on estime avoir « moins travaillé que l'année dernière, les gens se baladent mais ne viennent pas forcément manger. Pour nous c'était un week-end normal, rien de plus. Mais on est content quand même, c'est une bonne chose pour la ville. »
« Chaque patrimoine soutient l'autre »
En effet, le flux des touristes attirés par les Ducales a bénéficié à un autre site guisard : le Familistère.
Avec quelque 400 visiteurs sur les deux jours, le premier musée de l'Aisne a fait « un beau week-end, le meilleur de l'été. On bénéficie des gens qui viennent de loin et en profitent pour visiter » note Alexandre Vitel, qui remarque une réciprocité entre les deux sites historiques.
« On travaille très bien avec le château, poursuit le responsable, les Ducales apportent une notoriété à Guise, beaucoup de gens se garent au Familistère. La proximité entre les sites joue aussi. Le week-end des Ducales est toujours un gros week-end pour nous. En somme, chaque patrimoine soutient l'autre. »
Une réciprocité confirmée par Nicolas Maineray qui constate lui aussi une affluence accrue au château lors des festivités du 1er mai au Familistère.
Cette interaction rappelle combien les sites touristiques dépendent les uns des autres, et place Guise au cœur d'un cercle vertueux.
http://www.aisnenouvelle.fr/article/autre-actu/un-bilan-exceptionnel-pour-les-8es-ducales
samedi 10 août 2013
vendredi 9 août 2013
mercredi 7 août 2013
Les maisons de retraite luttent contre la chaleur
Les températures élevées sont de retour. Marquées par la canicule de 2003, les maisons de retraite en Thiérache sont prêtes à faire face aux fortes chaleurs.
A la maison de retraite de Guise, « on n'a pas attendu qu'il fasse très chaud pour se préparer à la montée des températures » indique Françoise Macaigne, cadre de santé. Derrière les murs, la sérénité règne au sein du personnel.
Depuis l'été caniculaire de 2003, les établissements de santé sont soumis au plan bleu. Il permet une meilleure prévention et une surveillance accrue du personnel auprès des patients et des personnes âgées.
« Pour l'instant nous sommes toujours au niveau 1 qui nécessite une vigilance verte. Nous n'avons pas dépassé les critères. C'est l'agence régionale de santé qui nous transmet l'information et le niveau du plan canicule, » précise la professionnelle de santé.
À l'intérieur de l'établissement, il y a une pièce climatisée à chaque étage. « Nous avons l'obligation d'avoir des salles refroidies. Elles correspondent à des lieux collectifs comme la salle à manger en règle générale. Ca nous permet d'inciter les personnes âgées à se réhydrater. Ce n'est pas évident. le problème est qu'ils perdent toute sensation de soif, » explique Mme Grost, la directrice des soins au centre hospitalier.
Ces périodes nécessitent une vigilance importante. Dans la salle climatisée où les personnes âgées prennent leur goûter, on pousse la chansonnette malgré la chaleur extérieure.
Perte de sensations
La bonne humeur est palpable à travers les sourires des anciens. Le personnel est au petit soin.
« On veille à leur alimentation et aux vêtements qu'ils portent, » explique la responsable. Parfois, « ils ne veulent pas retirer leur vêtement alors qu'il fait très chaud. On est obligé d'insister mais en général, ça se passe bien. On fait attention à bien fermer leurs volets lorsque la température est trop élevée. »
En progressant à l'intérieur de la maison de retraite, les pensionnaires n'ont pas l'air malheureux malgré ces conditions climatiques.
À La Capelle, la directrice de l'établissement d'hébergement pour personnes âgées dépendantes (EPHAD), Isabelle Soufflet semble plus que jamais préparée.
Surveillance accrue
« C'est à partir du niveau 2 que le centre local d'information et de coordination nous alerte. Pour l'instant, nous sommes en veille saisonnière, » informe la responsable.
Le personnel de santé est également sensibilisé. « La difficulté est que nous ne pouvons pas toujours savoir si la personne a bien bu. Alors à chaque moment collectif, nos infirmières surveillent leur consommation d'eau et s'assurent de leur bonne hydratation. On les rafraîchit avec des gants de toilettes. »
Pour déceler des malaises, « si une personne à des propos incohérents, des troubles du sommeil, cela peut être lié à un manque d'eau. On essaye également de leur donner des salades de fruits et du sirop pour leur donner envie, » ajoute Mme Soufflet. Les établissements pour personnes âgées sont désormais armés contre les grands coups de chaleurs.
LES QUATRE NIVEAUX DU PLAN CANICULE
Le plan canicule, c'est 4 niveaux :
- Le niveau 1 de vigilance verte concerne « la veille saisonnière » activée du premier juin au 31 août.
- Le niveau 2 de vigilance jaune correspond à l'avertissement chaleur.
- Le niveau 3 de vigilance orange, déclenché par les préfets de département, en lien avec les agences régionales de santé.
- Le niveau 4 correspond à la « mobilisation maximale ».
Cele signifie que la canicule s'avère exceptionnelle, très intense et durable avec des effets collatéraux. Cette situation nécessite une mobilisation maximale des services de l'Etat.
http://www.aisnenouvelle.fr/article/societe/les-maisons-de-retraite-luttent-contre-la-chaleur
A la maison de retraite de Guise, « on n'a pas attendu qu'il fasse très chaud pour se préparer à la montée des températures » indique Françoise Macaigne, cadre de santé. Derrière les murs, la sérénité règne au sein du personnel.
Depuis l'été caniculaire de 2003, les établissements de santé sont soumis au plan bleu. Il permet une meilleure prévention et une surveillance accrue du personnel auprès des patients et des personnes âgées.
« Pour l'instant nous sommes toujours au niveau 1 qui nécessite une vigilance verte. Nous n'avons pas dépassé les critères. C'est l'agence régionale de santé qui nous transmet l'information et le niveau du plan canicule, » précise la professionnelle de santé.
À l'intérieur de l'établissement, il y a une pièce climatisée à chaque étage. « Nous avons l'obligation d'avoir des salles refroidies. Elles correspondent à des lieux collectifs comme la salle à manger en règle générale. Ca nous permet d'inciter les personnes âgées à se réhydrater. Ce n'est pas évident. le problème est qu'ils perdent toute sensation de soif, » explique Mme Grost, la directrice des soins au centre hospitalier.
Ces périodes nécessitent une vigilance importante. Dans la salle climatisée où les personnes âgées prennent leur goûter, on pousse la chansonnette malgré la chaleur extérieure.
Perte de sensations
La bonne humeur est palpable à travers les sourires des anciens. Le personnel est au petit soin.
« On veille à leur alimentation et aux vêtements qu'ils portent, » explique la responsable. Parfois, « ils ne veulent pas retirer leur vêtement alors qu'il fait très chaud. On est obligé d'insister mais en général, ça se passe bien. On fait attention à bien fermer leurs volets lorsque la température est trop élevée. »
En progressant à l'intérieur de la maison de retraite, les pensionnaires n'ont pas l'air malheureux malgré ces conditions climatiques.
À La Capelle, la directrice de l'établissement d'hébergement pour personnes âgées dépendantes (EPHAD), Isabelle Soufflet semble plus que jamais préparée.
Surveillance accrue
« C'est à partir du niveau 2 que le centre local d'information et de coordination nous alerte. Pour l'instant, nous sommes en veille saisonnière, » informe la responsable.
Le personnel de santé est également sensibilisé. « La difficulté est que nous ne pouvons pas toujours savoir si la personne a bien bu. Alors à chaque moment collectif, nos infirmières surveillent leur consommation d'eau et s'assurent de leur bonne hydratation. On les rafraîchit avec des gants de toilettes. »
Pour déceler des malaises, « si une personne à des propos incohérents, des troubles du sommeil, cela peut être lié à un manque d'eau. On essaye également de leur donner des salades de fruits et du sirop pour leur donner envie, » ajoute Mme Soufflet. Les établissements pour personnes âgées sont désormais armés contre les grands coups de chaleurs.
LES QUATRE NIVEAUX DU PLAN CANICULE
Le plan canicule, c'est 4 niveaux :
- Le niveau 1 de vigilance verte concerne « la veille saisonnière » activée du premier juin au 31 août.
- Le niveau 2 de vigilance jaune correspond à l'avertissement chaleur.
- Le niveau 3 de vigilance orange, déclenché par les préfets de département, en lien avec les agences régionales de santé.
- Le niveau 4 correspond à la « mobilisation maximale ».
Cele signifie que la canicule s'avère exceptionnelle, très intense et durable avec des effets collatéraux. Cette situation nécessite une mobilisation maximale des services de l'Etat.
http://www.aisnenouvelle.fr/article/societe/les-maisons-de-retraite-luttent-contre-la-chaleur
dimanche 4 août 2013
La chanteuse d'Ostende
Une bonne moyenne, des camarades rares…bien que spéciaux…mais des camarades quand même…Christian et moi avons monté une agence de détectives privés…tous nos camarades de classe et d'autres classes sont fichés…pourquoi faire? je me le demande encore…il avait dû voir ça à la télé et faisait des fiches dans son grenier sur tout le monde…j'espère qu'aujourd'hui il a changé…Charles était le seul en ville à porter des pantalons à pattes d'éléphant…ils les avaient fabriquées et cousues lui même …la communauté de la petite bourgade ne goûtait guère à cette mode qui n'était encore que parisienne. Mais Charles n'en avait que faire, jusqu'au jour ou le directeur du collège lui interdit l'entrée de l'établissement dans cet “accoutrement.”
Qui dit fin d'année scolaire, dit voyage de la chorale de l'église…cette année, c'est Ostende en Belgique. L'abbé a tout prévu…Il collectionne des vignettes de bonbons comme les carambars car et gagne des points de voyage, le reste est alimenté par les dons des paroissiens.
Nous voila donc partis de bon matin, dans le car les choristes dorment…l'arrivée en Belgique au bord de la plage est un ravissement. Des calèches nous font faire le tour de la ville et la journée passe si vite qu'il nous faut déjà prendre le chemin du retour…C'est au retour que tout va se passer…Je suis assis près d'une grande, elle chante trés bien et fort, c'est un vrai poumon. Elle est vendeuse dans une boutique de lingerie féminine de la rue Camille Desmoulin…Dans le noir du car qui roule vers la France, elle me prend la main qu'elle caresse…tout le voyage, elle aura sa main dans la mienne et m'embrassera parfois furtivement…
Nous nous sommes revus pour des baisers passionnés derrière le square du jeude paume …puis un jour, elle m'a fait comprendre que j'étais trop jeune et qu'il ne fallait plus se voir…encore un coup au coeur… Guise Guise Guise !!! ...pourquoi ?
Qui dit fin d'année scolaire, dit voyage de la chorale de l'église…cette année, c'est Ostende en Belgique. L'abbé a tout prévu…Il collectionne des vignettes de bonbons comme les carambars car et gagne des points de voyage, le reste est alimenté par les dons des paroissiens.
Nous voila donc partis de bon matin, dans le car les choristes dorment…l'arrivée en Belgique au bord de la plage est un ravissement. Des calèches nous font faire le tour de la ville et la journée passe si vite qu'il nous faut déjà prendre le chemin du retour…C'est au retour que tout va se passer…Je suis assis près d'une grande, elle chante trés bien et fort, c'est un vrai poumon. Elle est vendeuse dans une boutique de lingerie féminine de la rue Camille Desmoulin…Dans le noir du car qui roule vers la France, elle me prend la main qu'elle caresse…tout le voyage, elle aura sa main dans la mienne et m'embrassera parfois furtivement…
Nous nous sommes revus pour des baisers passionnés derrière le square du jeude paume …puis un jour, elle m'a fait comprendre que j'étais trop jeune et qu'il ne fallait plus se voir…encore un coup au coeur… Guise Guise Guise !!! ...pourquoi ?
Antoinette a fêté ses 100 ans
Ce vendredi 26 juillet a été célébré le centième anniversaire d'Antoinette Vrebosch, entouré de sa famille, de ses amis, du maire, des adjoints… Il s'est déroulé à l'hôpital de Guise où elle se trouve actuellement pour des petits soucis de santé.
Issue d'une vieille famille de Macquigny, elle a exercé avec passion son métier d'agricultrice jusqu'en 1974, année d'une retraite bien méritée. Mariée à Leon Vrebosch elle a eu deux enfants, quatre petits-enfants et quatre arrière-petits-enfants.
http://www.aisnenouvelle.fr/article/autre-actu/antoinette-a-fete-ses-100-ans
Issue d'une vieille famille de Macquigny, elle a exercé avec passion son métier d'agricultrice jusqu'en 1974, année d'une retraite bien méritée. Mariée à Leon Vrebosch elle a eu deux enfants, quatre petits-enfants et quatre arrière-petits-enfants.
http://www.aisnenouvelle.fr/article/autre-actu/antoinette-a-fete-ses-100-ans
samedi 3 août 2013
Un été de travaux
Les travaux avancent à grand pas dans la rue Sadi Carnot et la rue de la République. Dans la première rue, l'opération s'effectue en deux phases.
La réfection des trottoirs de la place Louis-Meurice jusqu'aux établissements Xavier sur 280 mètres pour tout le côté gauche de la rue. Les équipes en profitent également pour refaire les canalisations d'eau potable. Des branchements en plomb ne conviennent plus aux normes sécuritaires en vigueur.
Des travaux jusqu'à la rentrée
Les bouches à clés, qui correspondent au point d'ouverture et de fermeture des canalisations situées sur la voie de circulation, vont être déplacées sur le trottoir pour mettre fin au bruit provoqué par le passage des voitures.
Les travaux pour les bouches à clés et la canalisation ont démarré le 8 juillet et prendront fin le 5 août prochain.
À partir du 12 août, l'entreprise de travaux publics Gorez, interviendra pour les trottoirs jusqu'à la rentrée des classes.
Pour la rue du docteur Devillers, les deux trottoirs vont également être rénovés.
Le coût pour la partie canalisation et la reprise des branchements s'élève à 29 400 euros. Pour la réfection des trottoirs, le coût est fixé à 70 000 euros et 31 000 euros pour la rue du docteur Devillers.
Dans le prolongement de la rue Sadi Carnot, la rue de la République connaît également des travaux. Commencés en mai dernier, ils doivent s'étaler logiquement sur douze mois. Cette partie concerne l'ouverture des tranchées avec le remplacement des réseaux d'eau.
L'enterrement des lignes électriques, téléphoniques et les câbles qui aliment l'éclairage public est également au programme.
http://www.aisnenouvelle.fr/article/autre-actu/un-ete-de-travaux
La réfection des trottoirs de la place Louis-Meurice jusqu'aux établissements Xavier sur 280 mètres pour tout le côté gauche de la rue. Les équipes en profitent également pour refaire les canalisations d'eau potable. Des branchements en plomb ne conviennent plus aux normes sécuritaires en vigueur.
Des travaux jusqu'à la rentrée
Les bouches à clés, qui correspondent au point d'ouverture et de fermeture des canalisations situées sur la voie de circulation, vont être déplacées sur le trottoir pour mettre fin au bruit provoqué par le passage des voitures.
Les travaux pour les bouches à clés et la canalisation ont démarré le 8 juillet et prendront fin le 5 août prochain.
À partir du 12 août, l'entreprise de travaux publics Gorez, interviendra pour les trottoirs jusqu'à la rentrée des classes.
Pour la rue du docteur Devillers, les deux trottoirs vont également être rénovés.
Le coût pour la partie canalisation et la reprise des branchements s'élève à 29 400 euros. Pour la réfection des trottoirs, le coût est fixé à 70 000 euros et 31 000 euros pour la rue du docteur Devillers.
Dans le prolongement de la rue Sadi Carnot, la rue de la République connaît également des travaux. Commencés en mai dernier, ils doivent s'étaler logiquement sur douze mois. Cette partie concerne l'ouverture des tranchées avec le remplacement des réseaux d'eau.
L'enterrement des lignes électriques, téléphoniques et les câbles qui aliment l'éclairage public est également au programme.
http://www.aisnenouvelle.fr/article/autre-actu/un-ete-de-travaux
vendredi 2 août 2013
Deux jours au Moyen Age
La fête médiévale de l'été débarque à Guise ce week-end. La huitième édition des Ducales se tiendra au château-fort et dans le centre-ville avec la présence de nombreuses troupes venues parfois de très loin.
Les 8e Ducales de Guise ont lieu samedi et dimanche au château-fort et dans la ville : deux jours de festivités et d’animations médiévales qui vont vous permettre de passer un week-end dépaysant.
Au programme spectacles, jeux et ateliers pour toute la famille, artisanat, animations déambulatoires et musique, marché médiéval et des terroirs anciens, reconstitution de vie de camps civile et militaire, chevalerie, artillerie médiévale, visites guidées et commentées du château-fort ; mais également festins médiévaux.
A la tombée de la nuit, le samedi, une descente aux flambeaux va être organisée depuis la porte du château jusqu'au stade Roger Lemoine. De la pyrotechnie et des spectacles de feu sont programmés au château-fort de Guise.
Voir le programme sur ce lien..................http://www.aisnenouvelle.fr/article/actualites/deux-jours-au-moyen-age
Les 8e Ducales de Guise ont lieu samedi et dimanche au château-fort et dans la ville : deux jours de festivités et d’animations médiévales qui vont vous permettre de passer un week-end dépaysant.
Au programme spectacles, jeux et ateliers pour toute la famille, artisanat, animations déambulatoires et musique, marché médiéval et des terroirs anciens, reconstitution de vie de camps civile et militaire, chevalerie, artillerie médiévale, visites guidées et commentées du château-fort ; mais également festins médiévaux.
A la tombée de la nuit, le samedi, une descente aux flambeaux va être organisée depuis la porte du château jusqu'au stade Roger Lemoine. De la pyrotechnie et des spectacles de feu sont programmés au château-fort de Guise.
Voir le programme sur ce lien..................http://www.aisnenouvelle.fr/article/actualites/deux-jours-au-moyen-age
Une nouvelle locomotive à l'entrée de la cité
GUISE - Le chemin de fer est à l’honneur à l’entrée de la ville. Une locomotive de 30 tonnes trône au carrefour de la rue de Vervins depuis peu.
Les amoureux du chemin de fer vont pouvoir s'en donner à cœur joie. Depuis une semaine, une impressionnante locomotive est installée au carrefour du pont de fer sur la route de Vervins.
Mise en place à l'aide d'une grue de manutention, l'engin de plus de 30 tonnes a attiré une trentaine de personnes lors de son installation. Les routes avaient même été bloquées pour l'occasion.
Un premier mannequin va être installé prochainement pour simuler l'aiguillage et un second sera mis en place à la place du conducteur de la locomotive. Il va y avoir une mise en valeur esthétique dans les mois à venir. Depuis la réception de la machine au mois d'avril par la ville, des travaux de rénovation ont été effectués.
Un traitement particulier de sablage et de ponçage pour lutter contre la rouille fait par les services de la ville a permis de remettre en état la carcasse de la vielle machine. Plusieurs couches de peinture ont également été nécessaires à l'embellissement de la locomotive.
Elle vient de Seine-et-Marne
Dans les semaines qui arrivent, un tunnel en image et en trois dimensions va également être installée. Elle vient de Longueville en Seine-et-Marne et elle avait été récupérée par Ajecta, une association de passionnés qui gère une collection de locomotives et wagons anciens.
L'installation de la locomotive à ce carrefour doit permettre aux habitants de se rappeler l'âge d'or du chemin de fer à Guise.
http://www.aisnenouvelle.fr/article/departement/une-nouvelle-locomotive-a-lentree-de-la-cite
Les amoureux du chemin de fer vont pouvoir s'en donner à cœur joie. Depuis une semaine, une impressionnante locomotive est installée au carrefour du pont de fer sur la route de Vervins.
Mise en place à l'aide d'une grue de manutention, l'engin de plus de 30 tonnes a attiré une trentaine de personnes lors de son installation. Les routes avaient même été bloquées pour l'occasion.
Un premier mannequin va être installé prochainement pour simuler l'aiguillage et un second sera mis en place à la place du conducteur de la locomotive. Il va y avoir une mise en valeur esthétique dans les mois à venir. Depuis la réception de la machine au mois d'avril par la ville, des travaux de rénovation ont été effectués.
Un traitement particulier de sablage et de ponçage pour lutter contre la rouille fait par les services de la ville a permis de remettre en état la carcasse de la vielle machine. Plusieurs couches de peinture ont également été nécessaires à l'embellissement de la locomotive.
Elle vient de Seine-et-Marne
Dans les semaines qui arrivent, un tunnel en image et en trois dimensions va également être installée. Elle vient de Longueville en Seine-et-Marne et elle avait été récupérée par Ajecta, une association de passionnés qui gère une collection de locomotives et wagons anciens.
L'installation de la locomotive à ce carrefour doit permettre aux habitants de se rappeler l'âge d'or du chemin de fer à Guise.
http://www.aisnenouvelle.fr/article/departement/une-nouvelle-locomotive-a-lentree-de-la-cite
jeudi 1 août 2013
Une généreuse pétanque
« Tous ensemble contre la leucémie » voici le leitmotive qui aura réuni 62 joueurs de pétanque au stade Raymond Lemoine.
Fabien Camus, pompier de Saint-Quentin, après avoir passé sa vie à sauver des personnes dans la détresse, est décédé subitement d'une leucémie foudroyante. Une association portant son nom et la pétanque Guisarde ont décidé de lui rendre hommage en collectant des fonds pour combattre cette redoutable maladie.
Un concours de pétanque a donc été organisé dont les frais d'inscription, 4 € par personne, seront entièrement remis au profit de l'association Fabien-Camus dans le cadre d'un projet commun avec l'ADF Saint-Quentin.
Il est habituel, généralement, de noter dans un article l'ensemble des vainqueurs dans l'ordre du classement, ce ne sera pas le cas ici, car en accord avec les organisateurs, il a été décidé que l'ensemble des joueurs étaient vainqueurs, de par leur générosité et leur dévouement pour cette cause des plus honorables.
www.association-camus.com
http://www.aisnenouvelle.fr/article/autre-actu/une-genereuse-petanque
Fabien Camus, pompier de Saint-Quentin, après avoir passé sa vie à sauver des personnes dans la détresse, est décédé subitement d'une leucémie foudroyante. Une association portant son nom et la pétanque Guisarde ont décidé de lui rendre hommage en collectant des fonds pour combattre cette redoutable maladie.
Un concours de pétanque a donc été organisé dont les frais d'inscription, 4 € par personne, seront entièrement remis au profit de l'association Fabien-Camus dans le cadre d'un projet commun avec l'ADF Saint-Quentin.
Il est habituel, généralement, de noter dans un article l'ensemble des vainqueurs dans l'ordre du classement, ce ne sera pas le cas ici, car en accord avec les organisateurs, il a été décidé que l'ensemble des joueurs étaient vainqueurs, de par leur générosité et leur dévouement pour cette cause des plus honorables.
www.association-camus.com
http://www.aisnenouvelle.fr/article/autre-actu/une-genereuse-petanque
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