Cette vidéo est très bien faite...le sujet est bien traité...le familistère y est bien expliqué...
Il faut cliquer sur le lien pour la voir...l'auteur n'a pas permis sa copie....
J'y ai vécu... travaillé... je me souviens...vous me suivez ? Revue de la presse régionale et nationale sur tout ce qui a un trait avec Guise ... la ville de mon adolescence ...
dimanche 30 novembre 2014
samedi 29 novembre 2014
vendredi 28 novembre 2014
Revitalisation des centres-bourgs : Guise, Bohain et Ham parmi les communes sélectionnées
Le 23 juin dernier, Sylvia Pinel, ministre du Logement, Marylise Lebranchu, ministre de la Décentralisation et George Pau-Langevin, ministre des Outre-Mer, ont lancé un appel à manifestation d’intérêt pour accompagner de façon expérimentale la revitalisation de centres-bourgs dans toutes les régions de métropole et d’Outre-Mer. Les projets retenus ont été dévoilé ce mercredi 26 novembre.
Sur 300 dossiers déposés, 54 communes cumulant des problèmes d’ordre démographique et d’urbanisme, de déficit d’équipements et de services, ont été sélectionnées. Elles bénéficieront de l’enveloppe de 40 millions d’euros débloquée par l’Etat pour « accompagner de façon expérimentale les centres-bourgs » dans la réalisation de projets de revitalisation.
Dans la région, trois commune ont été retenues : Guise, Bohain-en-Vermandois et Ham.
Plusieurs leviers pourront être activés, comme la construction de logements ou d’équipements, la création de nouveaux commerces ou encore, de services adaptés aux besoins des habitants. L’objectif est de limiter l’étalement urbain
http://www.aisnenouvelle.fr/region/revitalisation-des-centres-bourgs-guise-bohain-et-ham-ia44b0n145432
Sur 300 dossiers déposés, 54 communes cumulant des problèmes d’ordre démographique et d’urbanisme, de déficit d’équipements et de services, ont été sélectionnées. Elles bénéficieront de l’enveloppe de 40 millions d’euros débloquée par l’Etat pour « accompagner de façon expérimentale les centres-bourgs » dans la réalisation de projets de revitalisation.
Dans la région, trois commune ont été retenues : Guise, Bohain-en-Vermandois et Ham.
Plusieurs leviers pourront être activés, comme la construction de logements ou d’équipements, la création de nouveaux commerces ou encore, de services adaptés aux besoins des habitants. L’objectif est de limiter l’étalement urbain
http://www.aisnenouvelle.fr/region/revitalisation-des-centres-bourgs-guise-bohain-et-ham-ia44b0n145432
jeudi 27 novembre 2014
Salon de la gastronomie et de l'artisanat 2014
Encore une très belle vidéo de Sébastien Youradio
Merci Sébastien
mercredi 26 novembre 2014
mardi 25 novembre 2014
lundi 24 novembre 2014
dimanche 23 novembre 2014
le fort au marché de Noel
samedi 22 novembre 2014
Loïc Lantoine : "J'ai changé" au théatre du familistère
Loïc Lantoine fait tanguer la langue, chavirer la rime et culbuter les strophes. Avec son complice et alter-égal François Pierron, le chantre de la « chanson pas chantée » a baroudé de bars en gites, de clubs en bouges avec une inaltérable constance et trois albums sous le bras : Badaboum, premier essai tapageur sorti en 2004, suivi de Tout est calme deux ans après et du live À l’attaque en 2008. Ils ont forgé sa réputation de poète routard déglinguant les conventions littéraires et musicales avec un bagout et une pépie dignes d’un Bukowski ch’timi ou d’un Tom Waits nordiste. Sans oublier ses multiples avatars artistiques, du collectif Mon Côté Punk à la... Compagnie des Musiques à Ouïr, au sein de laquelle Lantoine revisite aussi bien Brassens que Brigitte Fontaine. Mais loin des références et des comparaisons, il est unique, Loïc. Lui qui, au tout début, se voyait en humble parolier dans l’ombre d’un Allain Leprest est devenu une sorte de troubadour trublion. Bête de scène malgré lui, préférait dire ses textes plutôt que de les faire lire. Un malentendu qu’on ne se lasse pas depuis d’écouter.
Il a changé, Loïc Lantoine. C’est du moins ce qu’il prétend dans le titre de ce nouvel album, aux chansons rodées comme d’habitude sur scène, pendant deux années de tournée. Histoire de se les mettre en tête et en bouche avant de les enregistrer, pratique peu commune qu’il tient
de Brel. Si l’on y retrouve la familière diction rocailleuse et les singuliers sonnets en vers et contre tous, on ne peut pas ne pas remarquer que le champion de la chanson chahutée s’est mis à… chanter : « Ça me terrorisait, avoue-t-il, je pensais que ça n’était pas à ma portée, et puis petit à petit... Je suis un complexé de la musique, ce qui a l’avantage de m’émerveiller chaque fois qu’on m’en propose une qui me plaît. Je fais confiance aux gens avec qui je travaille. »
« Lantoine puise dans la franche camaraderie et les vapeurs d’alcool, l’inspiration pour accoucher d’une poésie bancale et émouvante, comme parfois l’existence peut l’être. La musique de Lantoine transpire le vécu. “Je n’écris que si je suis ému” explique l’intéressé. »
Lionel Decottignies, L’Humanité, Avril 2013
Plein tarif: 10 euros / tarif réduit: 7 euros
Informations et réservations: 03.23.61.35.36 / theatre@familistere.com
Il a changé, Loïc Lantoine. C’est du moins ce qu’il prétend dans le titre de ce nouvel album, aux chansons rodées comme d’habitude sur scène, pendant deux années de tournée. Histoire de se les mettre en tête et en bouche avant de les enregistrer, pratique peu commune qu’il tient
de Brel. Si l’on y retrouve la familière diction rocailleuse et les singuliers sonnets en vers et contre tous, on ne peut pas ne pas remarquer que le champion de la chanson chahutée s’est mis à… chanter : « Ça me terrorisait, avoue-t-il, je pensais que ça n’était pas à ma portée, et puis petit à petit... Je suis un complexé de la musique, ce qui a l’avantage de m’émerveiller chaque fois qu’on m’en propose une qui me plaît. Je fais confiance aux gens avec qui je travaille. »
« Lantoine puise dans la franche camaraderie et les vapeurs d’alcool, l’inspiration pour accoucher d’une poésie bancale et émouvante, comme parfois l’existence peut l’être. La musique de Lantoine transpire le vécu. “Je n’écris que si je suis ému” explique l’intéressé. »
Lionel Decottignies, L’Humanité, Avril 2013
Plein tarif: 10 euros / tarif réduit: 7 euros
Informations et réservations: 03.23.61.35.36 / theatre@familistere.com
vendredi 21 novembre 2014
jeudi 20 novembre 2014
Commémoration du 11 novembre 2014 à Guise
On continue avec Sébastien Youradio... merci pour cette vidéo du 11 novembre !
mercredi 19 novembre 2014
mardi 18 novembre 2014
Le 7 Décembre c'est le Téléthon ...Retro : Lancement du Téléthon 2013 à Guise...
N'oubliez pas le Téléthon 2014 ... allez aider les bénévoles ...et Cédric Lajeunesse
Lancement du Téléthon 2013 à Guise par ReportersVideoTelethon
Lancement du Téléthon 2013 à Guise par ReportersVideoTelethon
lundi 17 novembre 2014
Réaliser une utopie : la vie quotidienne au Familistère Godin -
Contexte historique
Jean-Baptiste Godin dénonce dans Solutions sociales les limites de la solution mise en place dans le cadre des cités ouvrières de Mulhouse qui sont à l’honneur lors de l’exposition universelle de 1867 et qui ont la faveur des autorités du Second Empire. Ces cités combinent l’idéal de la petite maison, de la propriété du logement et de la moralisation de la famille ouvrière par son isolement. Au contraire, les choix préconisés dans le cadre du familistère de Guise, construit à partir de 1859, sont de favoriser la vie collective des familles, de prendre en charge l’organisation des relations sociales, d’exalter le travail ouvrier et les vertus de l’enseignement et de la culture.
Analyse des images
Les mères peuvent amener les nouveau-nés à la « nourricerie » et au « pouponnat » sans sortir du familistère, en échappant, grâce aux grandes verrières, aux rigueurs du climat. Evoquant les berceaux, bien visibles sur la photo de la nourricerie dont les dimensions soulignent l’importance accordée à l’éducation, Godin précise : « Le coucher de l’enfant est toujours sec et sans odeur […] le matelas est formé de 30 à 40 litres de gros son bien bluté, mis dans le fond de cette toile [en fort coutil] et recouvert d’un petit drap […] Cette couche ne se pénètre pas d’humidité ; au lever de l’enfant, le son humide se trouve aggloméré en motte qu’on enlève facilement avec la main, ou avec une petite raquette en fil de fer ; [le son] qu’on retire pour cause d’humidité peut être donné aux animaux de la basse-cour. » Derrière le poêle, on distingue un élément du matériel éducatif, « dans l’espace compris entre les balustrades, [les poupons] s’exercent à faire leurs premiers pas, en se servant des mains courantes comme appui ». Après l’âge de quatre ans, les enfants sont accueillis au « bambinat » puis à l’école situés de part et d’autre du théâtre du familistère, lequel vient compléter la fonction éducative et culturelle que Godin assigne à son « palais social ».
Les fêtes du familistère, celle de l’enfance (depuis 1863) et celle du travail (depuis 1867), se déroulent, au mois de mai et au mois de septembre, dans la cour intérieure du pavillon central. Ces fêtes ritualisées ont un déroulement quasi immuable. La mise en scène de la fête de 1933 s’inspire d’une gravure de la fête du travail de 1867. Godin commente dans Solutions sociales : « C’est un spectacle grandiose que ces solennités du familistère, et bien propre à faire comprendre aux sociétaires la distance qui les sépare de l’état d’abandon où ils se trouvaient naguère dans la maison isolée. Au palais social, la population ouvrière, sans sortir de chez elle, se donne le spectacle des honneurs qui lui sont dus. La proclamation des mérites de la pratique industrielle et la proclamation des progrès de l’enfance se font en présence des parents, des amis et des nombreux curieux attirés de tous les points du canton. » Petite différence, le buste du fondateur domine désormais l’estrade où les récompenses sont remises aux enfants ou aux ouvriers méritants. Il ne faut pas assimiler cette fête du travail, comme l’ont prétendu certains érudits locaux, avec la fête du Travail, le 1er Mai : la fête du familistère s’enracine dans une tradition de concorde sociale et non de lutte des classes.
Les fêtes du familistère, celle de l’enfance (depuis 1863) et celle du travail (depuis 1867), se déroulent, au mois de mai et au mois de septembre, dans la cour intérieure du pavillon central. Ces fêtes ritualisées ont un déroulement quasi immuable. La mise en scène de la fête de 1933 s’inspire d’une gravure de la fête du travail de 1867. Godin commente dans Solutions sociales : « C’est un spectacle grandiose que ces solennités du familistère, et bien propre à faire comprendre aux sociétaires la distance qui les sépare de l’état d’abandon où ils se trouvaient naguère dans la maison isolée. Au palais social, la population ouvrière, sans sortir de chez elle, se donne le spectacle des honneurs qui lui sont dus. La proclamation des mérites de la pratique industrielle et la proclamation des progrès de l’enfance se font en présence des parents, des amis et des nombreux curieux attirés de tous les points du canton. » Petite différence, le buste du fondateur domine désormais l’estrade où les récompenses sont remises aux enfants ou aux ouvriers méritants. Il ne faut pas assimiler cette fête du travail, comme l’ont prétendu certains érudits locaux, avec la fête du Travail, le 1er Mai : la fête du familistère s’enracine dans une tradition de concorde sociale et non de lutte des classes.
Interprétation
Le familistère fonctionne comme un monde clos, mais cette fermeture entraîne une rupture avec les idéaux de Jean-Baptiste Godin. Après1880, quand Godin aura fait des familistériens des actionnaires, les associés vont réduire leur descendance, et, grâce aux facilités dont ils bénéficient pour leurs études, les enfants des premiers ouvriers vont constituer une caste privilégiée qui, bénéficie d’avantages sociaux conséquents et dont les intérêts vont diverger de ceux de la masse des ouvriers qui n’habitent pas le familistère. Ces tensions aboutiront, bien plus tard, en 1968, au rachat de l’association – usine et habitat collectif – par une entreprise capitaliste classique.
Cet ensemble fonctionnel où chaque activité a son espace – l’usine et la production, le familistère et la résidence, l’économat et le commerce, les institutions enfantines et l’éducation, le théâtre, les sociétés diverses et les loisirs – peut être lu comme un monde de la surveillance de chacun par tous. Ce n’est pas ce qu’en ont retenu les derniers habitants, tout imprégnés de valeurs dont ils ont gardé la nostalgie
Cet ensemble fonctionnel où chaque activité a son espace – l’usine et la production, le familistère et la résidence, l’économat et le commerce, les institutions enfantines et l’éducation, le théâtre, les sociétés diverses et les loisirs – peut être lu comme un monde de la surveillance de chacun par tous. Ce n’est pas ce qu’en ont retenu les derniers habitants, tout imprégnés de valeurs dont ils ont gardé la nostalgie
dimanche 16 novembre 2014
Un article du Point : "L'esprit du Familistère, c'est fini"
Le Familistère de Guise (Aisne), modèle d'habitat social imaginé au XIXe siècle par l'industriel Jean-Baptiste Godin pour y loger ses quelque 1.500 ouvriers, s'est au gré d'aménagements successifs peu à peu vidé de ses habitants et n'en compte plus qu'une trentaine.
"L'esprit du Familistère, c'est fini. C'était des habitations pour des ouvriers et maintenant on est cinq dans un tel bâtiment", déplore Pierre Lemaire, 82 ans, qui vit dans le pavillon central depuis 60 ans.
"C'était une ville dans la ville. On était entre amis, entre collègues de travail et on se connaissait depuis plusieurs générations, c'était très convivial. Chacun avait son lopin de terre dans les jardins ouvriers", poursuit le Familistérien, entré à l'usine Godin à l'âge de 16 ans, comme avant lui ses grands-parents, son père et son beau-père.
Fabricant de poêles de chauffage en fonte et adepte du fouriérisme, Godin a édifié son "palais social" entre 1856 et 1883, à deux pas de l'usine, qui comptait aussi des écoles mixtes et obligatoires, un théâtre, un kiosque à musique, un lavoir, des commerces appelés économats, ou encore une crèche.
L'industriel résida lui-même dans un des quatre bâtiments en briques qui abritaient 500 appartements identiques pour les ouvriers et les ingénieurs.
Lors du rachat de la coopérative ouvrière en 1968, son nouveau propriétaire, s'il garde l'usine, vend les appartements à la découpe, aux occupants ou à la municipalité. Ils sont ensuite rachetés par le syndicat mixte du Familistère, qui entreprend à partir de 2000 un programme de valorisation baptisé "Utopia" pour réhabiliter les bâtiments tombés en décrépitude et construire dans le pavillon central un musée, qui a accueilli 54.000 visiteurs en 2012.
"Pour faire les travaux, certains habitants ont été relogés, d'autres ont été aidés à partir, on va dire", explique Claudine Bidoux, 67 ans, ancienne Familistérienne.
Son frère, Hervé Leleux, 64 ans, qui a tenu à rester, fait les comptes de la fenêtre de son appartement au premier étage : "six (habitants) dans le central, une vingtaine dans l'aile droite. Celui-là, il a plus de 90 ans, celle-là aussi. Ce sont beaucoup de personnes âgées".
La porte de son habitation, où une feuille de papier indique "Appartement occupé", est séparée du musée par des barrières.
"Une expropriation"
Alors que la cour et la verrière du central ont été refaites à neuf, l'aile droite semble complètement à l'abandon, avec ses vitres cassées et des tags recouvrant les escaliers.
Dans le cadre du programme Utopia, 70 logements devraient y être restaurés, tandis que des travaux pour transformer l'aile gauche, inhabitée pour des raisons sanitaires, en hôtel "multi-standards" doivent débuter à l'automne 2013.
"D'abord le musée, et puis l'hôtel. (...) Nous, quand on sera partis, l'appartement... je ne sais pas ce qu'ils vont en faire", redoute M. Lemaire, qui vit dans un appartement de six pièces au lieu de deux, depuis le départ de ses voisins.
Utopia "ne s'est pas fait sans heurt", convient Frédéric Panni, conservateur du patrimoine et directeur du Familistère. Mais "il y avait un défaut d'entretien depuis des décennies au palais social, qui comptait un taux de vacance de 30% en 1996. Loin de chasser les habitants, c'est le programme Utopia qui permet qu'on continue à l'habiter", insiste-t-il.
Pour Fernand Patte, 83 ans, né au Familistère, les habitants "ont été mis devant le fait accompli. On leur a dit +On va racheter votre appartement, vous allez habiter dans l'appartement qu'on va vous donner jusqu'à votre mort+. C'est une expropriation".
"Heureusement, les gens ont été relogés", poursuit-il, assis sur un banc, sa canne à portée de main, évoquant les souvenirs "heureux" de son enfance et l'"oeuvre de Monsieur Godin".
Sa plus grande crainte: "quand les Familistériens nés au Familistère ne seront plus là, l'histoire sera déformée".
http://www.lepoint.fr/societe/le-familistere-de-guise-se-vide-de-ses-habitants-09-08-2013-1712761_23.php
"L'esprit du Familistère, c'est fini. C'était des habitations pour des ouvriers et maintenant on est cinq dans un tel bâtiment", déplore Pierre Lemaire, 82 ans, qui vit dans le pavillon central depuis 60 ans.
"C'était une ville dans la ville. On était entre amis, entre collègues de travail et on se connaissait depuis plusieurs générations, c'était très convivial. Chacun avait son lopin de terre dans les jardins ouvriers", poursuit le Familistérien, entré à l'usine Godin à l'âge de 16 ans, comme avant lui ses grands-parents, son père et son beau-père.
Fabricant de poêles de chauffage en fonte et adepte du fouriérisme, Godin a édifié son "palais social" entre 1856 et 1883, à deux pas de l'usine, qui comptait aussi des écoles mixtes et obligatoires, un théâtre, un kiosque à musique, un lavoir, des commerces appelés économats, ou encore une crèche.
L'industriel résida lui-même dans un des quatre bâtiments en briques qui abritaient 500 appartements identiques pour les ouvriers et les ingénieurs.
"Pour faire les travaux, certains habitants ont été relogés, d'autres ont été aidés à partir, on va dire", explique Claudine Bidoux, 67 ans, ancienne Familistérienne.
Son frère, Hervé Leleux, 64 ans, qui a tenu à rester, fait les comptes de la fenêtre de son appartement au premier étage : "six (habitants) dans le central, une vingtaine dans l'aile droite. Celui-là, il a plus de 90 ans, celle-là aussi. Ce sont beaucoup de personnes âgées".
La porte de son habitation, où une feuille de papier indique "Appartement occupé", est séparée du musée par des barrières.
"Une expropriation"
Alors que la cour et la verrière du central ont été refaites à neuf, l'aile droite semble complètement à l'abandon, avec ses vitres cassées et des tags recouvrant les escaliers.
Dans le cadre du programme Utopia, 70 logements devraient y être restaurés, tandis que des travaux pour transformer l'aile gauche, inhabitée pour des raisons sanitaires, en hôtel "multi-standards" doivent débuter à l'automne 2013.
"D'abord le musée, et puis l'hôtel. (...) Nous, quand on sera partis, l'appartement... je ne sais pas ce qu'ils vont en faire", redoute M. Lemaire, qui vit dans un appartement de six pièces au lieu de deux, depuis le départ de ses voisins.
Utopia "ne s'est pas fait sans heurt", convient Frédéric Panni, conservateur du patrimoine et directeur du Familistère. Mais "il y avait un défaut d'entretien depuis des décennies au palais social, qui comptait un taux de vacance de 30% en 1996. Loin de chasser les habitants, c'est le programme Utopia qui permet qu'on continue à l'habiter", insiste-t-il.
Pour Fernand Patte, 83 ans, né au Familistère, les habitants "ont été mis devant le fait accompli. On leur a dit +On va racheter votre appartement, vous allez habiter dans l'appartement qu'on va vous donner jusqu'à votre mort+. C'est une expropriation".
"Heureusement, les gens ont été relogés", poursuit-il, assis sur un banc, sa canne à portée de main, évoquant les souvenirs "heureux" de son enfance et l'"oeuvre de Monsieur Godin".
Sa plus grande crainte: "quand les Familistériens nés au Familistère ne seront plus là, l'histoire sera déformée".
http://www.lepoint.fr/societe/le-familistere-de-guise-se-vide-de-ses-habitants-09-08-2013-1712761_23.php
samedi 15 novembre 2014
vendredi 14 novembre 2014
Filme ton quartier et passe à la TV !
Filme ton quartier : le concours des... par ftv-nouvelles-ecritures Vous connaissez toute l'histoire de votre quartier, votre ville, ou votre village. Vous l’aimez ? Vous le détestez ? L’image de votre quartier dans les médias ne vous convient pas ?
Prenez votre caméra et réalisez votre film documentaire de 3 minutes 30. Le concours est ouvert entre le 14 novembre 2014 à 10h00 au 16 février 2015 à 12h00.
Qui est le jury ?
Du 16 février 2015 au 16 avril 2015 inclus, un comité composé de collaborateurs des équipes documentaires de France 3 et des Nouvelles Ecritures (tels que conseillers de programme, conseillers éditoriaux aux Nouvelles Ecritures…) (ci-après « le Comité de sélection »)se réunira afin de sélectionner 30 documentaires parmi l’ensemble des vidéos envoyées par les Participants avant les date et heure limite de participation sur le Site, sous réserve de la validité de leur participation.http://france3-regions.francetvinfo.fr/champagne-ardenne/2014/11/14/fime-ton-quartier-et-passe-la-tv-592126.html
Guise, Fille de France, Mémoire d'Europe, Terre en partage"
Une nouvelle exposition permanente vient d’être inaugurée samedi 8 novembre 2014 dans l’allée d’accès au Château Fort de Guise. En partie financée par la Fondation d’entreprise Crédit Agricole du Nord Est, l’inauguration de cette exposition... a permis la remise d’un chèque au Club du Vieux Manoir.
Intitulée « Guise, Fille de France, Mémoire d’Europe, Terre en partage », elle présente en 16 panneaux (chacun accompagné du drapeau correspondant) les liens de la ville et du Château de Guise avec différents pays européens. Replaçant l’histoire locale dans un contexte plus large, l’exposition s’inscrit également dans la cadre du Centenaire de la Première Guerre mondiale et vise ainsi à promouvoir la paix retrouvée entre ces différents pays.
Elle est visible gratuitement aux jours et horaires d’ouverture du Château. N’hésitez à venir la découvrir !
Intitulée « Guise, Fille de France, Mémoire d’Europe, Terre en partage », elle présente en 16 panneaux (chacun accompagné du drapeau correspondant) les liens de la ville et du Château de Guise avec différents pays européens. Replaçant l’histoire locale dans un contexte plus large, l’exposition s’inscrit également dans la cadre du Centenaire de la Première Guerre mondiale et vise ainsi à promouvoir la paix retrouvée entre ces différents pays.
Elle est visible gratuitement aux jours et horaires d’ouverture du Château. N’hésitez à venir la découvrir !
voir les photos sur ce lien .........
https://www.facebook.com/media/set/?set=a.534047063393469.1073741847.341351375996373&type=1 jeudi 13 novembre 2014
Aulnoye-Aymeries: la nouvelle saison du théâtre de chambre avec des rencontres toujours aussi étonnantes ...ça commence avec le théâtre du Familitère de Guise
Le théâtre de chambre d’Aulnoye-Aymeries démarre une nouvelle saison riche en rencontres toujours aussi belles et étonnantes. Une saison marquée, aussi, par de nombreuses résidences d’artistes
Voici les premiers rendez-vous de la nouvelle saison du Théâtre de chambre d’Aulnoye en Avesnois-Thiérache - en attendant, promis, de vous dévoiler d’autres projets surprenants qui marqueront les mois à venir !
Infos au 03 27 68 07 26.
http://www.lavoixdunord.fr/region/avesnes-et-ses-environs/aulnoye-aymeries
Voici les premiers rendez-vous de la nouvelle saison du Théâtre de chambre d’Aulnoye en Avesnois-Thiérache - en attendant, promis, de vous dévoiler d’autres projets surprenants qui marqueront les mois à venir !
Les petits Rendez-vous
Pour découvrir les « Petits Rendez-vous », venez le samedi 15 novembre à 17 h au Familistère de Guise (Aisne). Les « Petits rendez-vous » sont directement portés par des habitants, chez eux ou dans des endroits secrets, intimes. Ce sont des moments d’une douzaine de minutes auxquels sont conviés, pour chacun d’entre eux, une dizaine de spectateurs dont le nombre varie en fonction du lieu et du thème.Garbage Garden
Les vendredis 21 novembre à 20 h et samedi 22 novembre à 19 h au 232U, à La Florentine à Aulnoye-Aymeries. Garbage Garden est un spectacle tout public produit par le Théâtre de chambre – 232U. Proposé par Grégoire Chombard (pour les constructions) et Simone Cinelli (pour la réalisation vidéo), la mise en scène est de Christophe Piret. Un mélange de vidéo, machines étranges et musiques produites à partir d’objets de récupération. Un voyage étrange, poétique et décalé au cœur de nos poubelles et de nos déchets dans plusieurs sens du terme… De la « petite musique de chambre » pour couvercles pneumatiques aux images de poubelles et de ceux qui les vident au milieu du bruit des machines, en passant par le voyage d’un sac plastique… le voyage vaut le détour.Infos au 03 27 68 07 26.
http://www.lavoixdunord.fr/region/avesnes-et-ses-environs/aulnoye-aymeries
mercredi 12 novembre 2014
mardi 11 novembre 2014
lundi 10 novembre 2014
dimanche 9 novembre 2014
Guise : Une conductrice percute deux plots de béton et une voiture en stationnement
Ce matin vers 4 h, un véhicule break immatriculé en Pologne conduite par une femme a violemment percuté deux plots en béton à l’angle de la rue Camille-Desmoulins et de la rue Lesur.
Le véhicule en question a terminé sa course quelques mètres après sur la partie de gauche de la route en défonçant l’arrière d’un véhicule en stationnement, une Renault Laguna. Le choc a été violent en témoigne le bitume soulevé sur l’avant droit de la voiture stationnée qui a en étant poussé écrasé un autre plot en fer.
A 9 h 30, la conductrice était placée en cellule de dégrisement en gendarmerie de Guise
http://www.aisnenouvelle.fr/region/guise-une-conductrice-percute-deux-plots-de-beton-et-une-ia44b0n138101
Le véhicule en question a terminé sa course quelques mètres après sur la partie de gauche de la route en défonçant l’arrière d’un véhicule en stationnement, une Renault Laguna. Le choc a été violent en témoigne le bitume soulevé sur l’avant droit de la voiture stationnée qui a en étant poussé écrasé un autre plot en fer.
A 9 h 30, la conductrice était placée en cellule de dégrisement en gendarmerie de Guise
http://www.aisnenouvelle.fr/region/guise-une-conductrice-percute-deux-plots-de-beton-et-une-ia44b0n138101
samedi 8 novembre 2014
vendredi 7 novembre 2014
La Neuville-Housset: un blessé dans une perte de contrôle
Un automobiliste de 54 ans, qui circulait au volant de sa Clio, a fait une sortie de route ce jeudi vers 20 heures sur la D946 entre Guise et Marle. Des témoins ont vu la voiture faire plusieurs embardées avant qu’elle ne se couche sur le flanc.
Les sapeurs-pompiers ont eu des difficultés à extraire le passager peut-être victime d’un malaise expliquant la sortie de route. Blessé, il a été transporté à l’hôpital. Toutefois ses jours ne seraient pas en danger.
http://www.aisnenouvelle.fr/region/region-en-direct
Les sapeurs-pompiers ont eu des difficultés à extraire le passager peut-être victime d’un malaise expliquant la sortie de route. Blessé, il a été transporté à l’hôpital. Toutefois ses jours ne seraient pas en danger.
http://www.aisnenouvelle.fr/region/region-en-direct
GUISE (02). La société de tir a tenu son assemblée générale. Au menu : un appel aux arbitres. Le calendrier des compétitions départementales a été dévoilé.
Le comité départemental des sociétés de tir de l’Aisne s’est réuni en assemblée générale dans la salle Beauval.
Lors du rapport moral Catherine Faucillon, la présidente, a remercié les présidents de clubs et champions de tir présents, mais a émis un bémol. La fédération manque d’arbitres, ce qui explique le peu de représentativité dont ils font preuve lors des réunions. « J’aimerais que des tireurs se forment pour devenir arbitres, la ligue en manque cruellement ! » et encore, « nous souhaitons que le bénévolat ne coûte pas aux bénévoles, les frais de formation sont pris en charge par la ligue. » De plus, il a été annoncé que la cotisation des sociétés resterait à 20 euros par adhérent.
Le tour Aisne espoir destiné aux jeunes tireurs qui se destinent à la compétition est un véritable vivier de futurs champions. Il permet aux jeunes tireurs de se familiariser avec la compétition dans un cadre à la fois souple et éducatif. Son objectif est de permettre aux jeunes tireurs des écoles de tir de l’Aisne de se confronter dans une compétition amicale dans les différents stands du département, les préparant ainsi avant les compétitions officielles départementales, régionales voire nationales. Rendez-vous donc le 15 novembre à Guise, le 10 janvier à Château-Thierry, le 24 janvier à Vouel, le 14 février à Soissons. Final le 14 mars à Saint-Quentin. Ces dates ne sont pas définitives, elles nécessiteront l’aval de la fédération.
http://www.lunion.presse.fr/region/appel-aux-arbitres-au-club-de-tir-ia3b26n428757
Le comité départemental des sociétés de tir de l’Aisne s’est réuni en assemblée générale dans la salle Beauval.
Lors du rapport moral Catherine Faucillon, la présidente, a remercié les présidents de clubs et champions de tir présents, mais a émis un bémol. La fédération manque d’arbitres, ce qui explique le peu de représentativité dont ils font preuve lors des réunions. « J’aimerais que des tireurs se forment pour devenir arbitres, la ligue en manque cruellement ! » et encore, « nous souhaitons que le bénévolat ne coûte pas aux bénévoles, les frais de formation sont pris en charge par la ligue. » De plus, il a été annoncé que la cotisation des sociétés resterait à 20 euros par adhérent.
Vivier de champions
Voici le calendrier des prochaines compétitions départementales : les 25 et 26 octobre à Vouel pour les arbalètes ; les 8 et 9 novembre à Soissons ; les 18 et 29 mars à Guise pour les armes anciennes ; les 4 et 5 avril pour les armes réglementaires. Les 11 et 12 avril, rendez-vous à Laon pour les arbalètes ; les 18 et 19 avril à Vouel pour les écoles de tir ; les 25, 26 avril et 2 mai à Saint-Quentin pour les tirs à 25 et 50 mètres. Les championnats de France des écoles de tir auront lieu 14 décembre à Saint-Quentin.Le tour Aisne espoir destiné aux jeunes tireurs qui se destinent à la compétition est un véritable vivier de futurs champions. Il permet aux jeunes tireurs de se familiariser avec la compétition dans un cadre à la fois souple et éducatif. Son objectif est de permettre aux jeunes tireurs des écoles de tir de l’Aisne de se confronter dans une compétition amicale dans les différents stands du département, les préparant ainsi avant les compétitions officielles départementales, régionales voire nationales. Rendez-vous donc le 15 novembre à Guise, le 10 janvier à Château-Thierry, le 24 janvier à Vouel, le 14 février à Soissons. Final le 14 mars à Saint-Quentin. Ces dates ne sont pas définitives, elles nécessiteront l’aval de la fédération.
http://www.lunion.presse.fr/region/appel-aux-arbitres-au-club-de-tir-ia3b26n428757
jeudi 6 novembre 2014
GUISE Le canular lui coûte cher
« Ça n’incite pas à la clémence, ça suscite même la colère », s’est indigné le procureur de la République. Mardi 7 octobre, un homme de 22 ans ne s’est pas présenté à la barre du tribunal correctionnel de Saint-Quentin. « C’est un habitué des canulars aux heures tardives », rappelle la magistrate. Il a déjà été condamné par le passé mais sa voisine aussi a comparu. Celle-ci a été relaxée car rien n’a prouvé qu’elle avait participé activement à ce coup de téléphone bidon.
Dans la nuit du 5 avril, le garçon, très éméché, prévient la gendarmerie. Il indique que sa voisine vient d’être victime d’un cambriolage, perpétré par des hommes encagoulés. L’appel est tout de même pris au sérieux. Les militaires se déplacent et se rendent compte rapidement que l’appel au secours n’en est pas un. La voisine le confirme. Elle aussi a bu beaucoup d’alcool. « Il dit toujours que c’est moi qui appelle », se justifie-t-elle. Bref, une blague de bidochons qui ne fait rire que son auteur. « Sur la côte, c’est soirée mousse mais ici, c’est soirée mousseux », a ironisé Me Lavalois pour le compte de son client, qui a écopé de 30 jours-amendes à 10 €.
mercredi 5 novembre 2014
Guise : au service (civique) des associations guisardes
Le fer de lance d’une association, c’est le tissu de bénévoles qui l’animent. Certaines peuvent aussi se permettre d’avoir des salariés à temps plein, mais cela ne suffit pas toujours à assurer toutes les missions nécessaires.
« Le service civique, lui, permet de mener à bien des projets que l’on ne pourrait pas mener à bien simplement avec les salariés permanents, qui sont happés par le quotidien » résume Nicolas Maineray, directeur du Château fort de Guise, qui accueille, par le biais du Club du Vieux Manoir des volontaires en service civique depuis plusieurs années. « De notre point de vue, c’est un bon dispositif, pour l’association mais aussi pour les jeunes, souvent en période de transition, de découvrir une activité, poursuit-il. »
À bientôt 25 ans, Marianne Jouard est la cinquième volontaire à travailler au Château fort. Pour elle, c’est une suite idéale après ses études. « J’ai connu le Club grâce à mon stage dans le cadre d’un master culture et patrimoine au printemps, et à l’issue duquel il m’a été proposé de poursuivre en service civique, explique la jeune femme. Ce que j’ai accepté avec plaisir ! »
Visites, intendance, entretien du site, la volontaire touche un peu à tout. « Je suis très polyvalente, comme tout le monde ici, poursuit-elle. J’ai compris qu’il fallait prendre de l’initiative pour que les choses avancent, du coup je suis aussi plus autonome. »
Un moteur de confiance en soi, parfois générateur d’emploi
Plus autonome et plus sûre d’elle. « Je n’avais pas très confiance en moi, mais le fait de gérer l’intendance des camps de bénévoles, de contribuer à faire avancer le tout, on se sent utile au patrimoine et c’est très formateur. Et même si je suis plus autonome, je suis accompagné et si j’ai une question, je sais qu’il y a toujours quelqu’un qui est là pour écouter. »
Alors que son service se termine en décembre, la volontaire, originaire d’Amiens, aimerait dès lors trouver un emploi dans son domaine de formation, tout en restant bénévole au château. « On s’attache au lieu, et on s’attache aux gens, le service civique est aussi important pour la professionnelle que pour la vie personnelle, conclut-elle. »
Un constat que confirme le parcours de deux autres salariés du Château : Émilie Mathot et Olivier Micard, tous deux en service civique au Club du vieux Manoir avant d’y être embauchés.
Si le plus vieux site de Guise accueille régulièrement des jeunes en service civique, c’est désormais aussi le cas de la plus vieille association de la ville, qui a recruté une volontaire en septembre pour la première fois.
À la Renaissance, « une aide précieuse »
À la Renaissance, club de gymnastique depuis 1884, Lucie Boudeaux participe activement aux recherches généalogiques du club. « Dans la mesure où l’association a pas mal besoin d’aide, cela nous est très utile, explique Cédric Lajeunesse, le trésorier. C’est une aide précieuse que je voulais car nos bénévoles manquent toujours de temps. En plus des recherches, elle nous aide à l’accompagnement de sorties, l’organisation du Téléthon. »
Pour la principale intéressée, c’est aussi une aventure personnelle.
« Grâce aux recherches que j’effectue dans les archives de l’Aisne Nouvelle, je fais des découvertes intéressantes, comme le fait que la Renaissance avait une section de boxe pendant la guerre, certaines réparations au Château Fort, l’existence passée d’un club de basket au Familistère ou d’un tramway à Guise… Le service civique est un dispositif que je ne connaissais pas, c’est vraiment surprenant et très instructif, conclut-elle. »
Pour plus d’informations et pour trouver les organismes qui recherchent un service civique : www.service-civique.gouv.fr/
mardi 4 novembre 2014
Le fabuleux destin d’Eugénie Poulain, miss Guise 2014
Samedi soir dans la salle des fêtes, c’est devant une nombreuse assistance que la nouvelle Miss Guise a été élu.
Les membres du Comité des cheveux blancs et sa présidente Lilette Hennechart étaient les principaux instigateurs de cette manifestation de prestige.
Les prétendantes au titre de Miss Guise étaient, .Nora Lambin, 16 ans, lycéenne domiciliée à Guise et qui a pour principaux loisir, le théâtre et la piscine (N° 1)- Déborah Lobjois, 17 ans, lycéenne de Guise elle a comme loisir d’être majorette (N°2)- Adeline Bruyère, 19 ans, de Guise, caissière elle a comme loisirs d’être majorettes (N°3)- Mélinda Jaris, 15 ans, Lycéenne de Guise, ses loisirs sont la danse et le chant (N°4)- Blandine Dollain, 17 ans, lycéenne de Monceau-le-Neuf, ses loisirs sont la photographie, le mannequinat et l’équitation (N° 5)- Alison Belhaurari, 21 ans, demandeuse d’emploi de Guise ses loisirs sont la danse le chant et le cinéma (N° 6)- Eugénie Poulain, 18 ans, lycéenne de Guise qui pratique la danse (N° 7)- Charline Mourin, 16 ans, lycéenne de Landifay, qui a comme loisirs le mannequinat (N° 8)- Laurine Drucbert, 22 ans, hôtesse en bijouterie de Maubeuge ses loisirs sont le mannequinat et la communication (N°9).
L’animateur de la soirée, Daniel Loncq, n’est pas venu seul pour créer l’animation, mais accompagné de mannequins professionnelles qui ont défilé pour présenter les différents produits des partenaires commerçants de ce défilé.
Les trois thèmes suivants ont constitué l’ensemble de la prestation, « Prise de contact » en jean, « soleil et sable » en maillot de bain et pour conclure « silhouette de mode » en robe de cocktail ou de soirée avec escarpins. Le jury, composé de sept membres, Monique Walton, Sophie Cochet, Claudia Duval, Corine Parisot, Manuel Carré, Benoit Lecat et Martin Vandevoord, a rendu son verdict après une pose de plusieurs minutes.
La numéro sept Eugénie Poulain a été élu Miss Guise, Nora Lambim première dauphine et Adeline Bruyère deuxième dauphine.
Elles ont reçues chacune une écharpe correspondant à leur titre et un superbe bouquet de fleurs, avec certainement des rêves de gloires plein la tête. Miss Guise participera prochainement à l‘inauguration du salon de la gastronomie organisée par « l’association horticole de Guise ».
Le fabuleux destin d’Eugénie Poulain, miss Guise 2014
http://www.aisnenouvelle.fr/region/le-fabuleux-destin-d-eugenie-poulain-miss-guise-2014-ia16b109n135463
lundi 3 novembre 2014
dimanche 2 novembre 2014
En direct du Château...n°14
En direct du Château...
N°14, 30 octobre 2014
LES CHANTIERS
Les chantiers de jeunes de la Toussaint ont commencé le 18 octobre et se termineront le 1er novembre. Deux semaines très riches en activités, comme vous allez pouvoir le constater !
Pour commencer, tentons de situer les chantiers de pavage en cours : ils se trouvent autour du carrefour des carrosses, lequel dessert quatre accès : d’une part l’espace Prisons-Arsenal des 3000 et l’allée des carrosses ; d’autre part l’allée des gouverneurs et le chemin menant à la cour d’honneur, actuellement en grande partie remblayé. Les deux premiers accès ont été pavés par le Club il y a plusieurs années. Les deux autres sont actuellement en chantier.
Nous vous parlons depuis plusieurs mois maintenant du chantier de pavage dans l’allée des gouverneurs, qui se poursuit toujours. Mais les jeunes pavent parallèlement le début du chemin menant à la cour d’honneur, ce qui commence à redonner au carrefour des carrosses tout entier sa place centrale dans le Château !
Le chemin menant à la cour d’honneur longe un mur de soutènement dont les parements de grès ont été arrachés après la Première Guerre mondiale. Les jeunes bénévoles ont commencé à reposer ce parement : nettoyage des maçonneries anciennes ; pose de cordeaux ; recherche de grès de récupération dans le Château ; choix de ceux pouvant être utilisés ; pose à sec ; préparation du mortier et enfin pose des grès de parement. Un travail long et fastidieux, mais qui d’une part consolide les maçonneries et d’autre part redonne à ce mur son aspect d’origine.
Une équipe s’est occupée de poursuivre le chantier de l’escalier menant au souterrain dit du XIe. Les murs de soutènement avaient été terminés cet été et l’espace alentour aplani, mais il restait encore quelques marches trop larges à reprendre, ce qui est désormais fait. Nous disposons maintenant, derrière cet escalier, le long de la courtine, d’un espace de stockage des échafaudages qu’il est prévu de couvrir pour les protéger des intempéries. Cette même équipe a rehaussé les maçonneries d’une des cheminées de ventilation d’une galerie de tir de la demi-lune de secours, pour éviter que de la terre et autres feuilles mortes ne tombent dans la galerie.
Un stage « Archéologie du bâti » a lieu parallèlement à ces chantiers. Il a débuté par l’intervention de Jean-Paul Meuret, archéologue de la brique, historien de la Thiérache et président du GRAT (Groupe de Recherches Archéologiques de Thiérache), venu passer la journée de lundi au Château avec les jeunes stagiaires du Club.
Accompagné de Joëlle Dervin, documentaliste du GRAT, il nous a exposé l'histoire des recherches et découvertes archéologiques autour de la brique en Thiérache puis nous a initié à la méthode d'étude statistique des modules de briques dont il est l'auteur. Cette méthode élaborée en 1975 prend toute sa place dans le corpus méthodologique de ce qu'il est convenu d'appeler aujourd'hui l'archéologie du bâti.
Nous sommes ensuite passés à la pratique, avec la prise de mesures sur le terrain, pratique qui se poursuit toute la semaine pour une partie des jeunes du Club qui suivent ce stage. Ces recherches autour de la construction en brique feront l'objet d'un programme pluri-annuel qui nous permettra, nous l'espérons, de mieux appréhender l'histoire de la construction de la forteresse moderne qui est, encore aujourd'hui, loin d'être parfaitement connue, faute de textes. A suivre !...
Mais le travail et le chantier ne sont pas les seules occupations des jeunes : promenade à pieds jusqu’à l’abbaye de Bohéries pour y ramasser des pommes ; pressage des pommes pour obtenir du jus ; chocolat chaud pour le goûter ; veillée au coin du feu dans la boulangerie ; soirée pizzas et soirées crêpes, atelier cotte de mailles... Les camps-chantiers-patrimoine sont bien une activité de loisir !
Les activités et les chantiers se poursuivent aussi en dehors des vacances avec les adultes bénévoles du Club du Vieux Manoir dont le nombre augmente sans cesse ! Ainsi, le système de fermeture de la porte piétonne de la porte Ducale a été réparé, la porte de la Boulangerie a été remise dans ses gonds ; une porte métallique a été soudée pour fermer la galerie des Lépreux (la porte en bois ayant fait son temps) ; le souterrain du 11e a été vidé et rangé de même que le logement des prisonniers d’Etat et certains bâtiments des douves ; le déboisement du Château se poursuit, en particulier du côté du bastion de la Charbonnière et du Saint-André ; le chantier de reprise du contrefort gauche de la voûte de la Porte de Paris, récemment dégagé de la végétation, a commencé ; l’appentis dans lequel se trouve le matériel a été électrifié, ainsi qu’une partie de la première cour... Les choses avancent, encore et toujours : merci aux bénévoles !
LES ACTUALITES
La conférence de Françoise Chevalier et Paul Lienhart « Gaspard de Coligny, François de Guise, frères ennemis » a attiré samedi 25 novembre une cinquantaine de personnes au Château, dans la salle des Tupigny. Elle fut suivie de nombreuses questions du public, ainsi que d'un pot qui a permis de poursuivre les échanges. Nous remercions ici les intervenants, ainsi que les Amis du Musée du Protestantisme de Lemé qui ont, avec le Club du Vieux Manoir, organisé cette conférence.
L’exposition de Françoise Chevalier « Gaspard II de Coligny, homme de foi et homme de guerre », aimablement mise à disposition par le musée de Châtillon-Coligny, est quant à elle toujours visible au Château, dans le cadre des visites du site, jusqu’au 21 décembre.
QUELQUES DATES A RETENIR
18 octobre-1er novembre : Camps-chantiers-patrimoine du Club du Vieux Manoir
http://www.clubduvieuxmanoir.fr/
Du 25 octobre au 21 décembre : Exposition Gaspard II de Coligny, homme de foi et homme de guerre
http://www.musee-leme02.fr/
http://chateaudeguise.fr/
BONNE JOURNEE A VOUS !
LES JEUNES DU CLUB DU VIEUX MANOIR
N°14, 30 octobre 2014
LES CHANTIERS
Les chantiers de jeunes de la Toussaint ont commencé le 18 octobre et se termineront le 1er novembre. Deux semaines très riches en activités, comme vous allez pouvoir le constater !
Pour commencer, tentons de situer les chantiers de pavage en cours : ils se trouvent autour du carrefour des carrosses, lequel dessert quatre accès : d’une part l’espace Prisons-Arsenal des 3000 et l’allée des carrosses ; d’autre part l’allée des gouverneurs et le chemin menant à la cour d’honneur, actuellement en grande partie remblayé. Les deux premiers accès ont été pavés par le Club il y a plusieurs années. Les deux autres sont actuellement en chantier.
Nous vous parlons depuis plusieurs mois maintenant du chantier de pavage dans l’allée des gouverneurs, qui se poursuit toujours. Mais les jeunes pavent parallèlement le début du chemin menant à la cour d’honneur, ce qui commence à redonner au carrefour des carrosses tout entier sa place centrale dans le Château !
Le chemin menant à la cour d’honneur longe un mur de soutènement dont les parements de grès ont été arrachés après la Première Guerre mondiale. Les jeunes bénévoles ont commencé à reposer ce parement : nettoyage des maçonneries anciennes ; pose de cordeaux ; recherche de grès de récupération dans le Château ; choix de ceux pouvant être utilisés ; pose à sec ; préparation du mortier et enfin pose des grès de parement. Un travail long et fastidieux, mais qui d’une part consolide les maçonneries et d’autre part redonne à ce mur son aspect d’origine.
Une équipe s’est occupée de poursuivre le chantier de l’escalier menant au souterrain dit du XIe. Les murs de soutènement avaient été terminés cet été et l’espace alentour aplani, mais il restait encore quelques marches trop larges à reprendre, ce qui est désormais fait. Nous disposons maintenant, derrière cet escalier, le long de la courtine, d’un espace de stockage des échafaudages qu’il est prévu de couvrir pour les protéger des intempéries. Cette même équipe a rehaussé les maçonneries d’une des cheminées de ventilation d’une galerie de tir de la demi-lune de secours, pour éviter que de la terre et autres feuilles mortes ne tombent dans la galerie.
Un stage « Archéologie du bâti » a lieu parallèlement à ces chantiers. Il a débuté par l’intervention de Jean-Paul Meuret, archéologue de la brique, historien de la Thiérache et président du GRAT (Groupe de Recherches Archéologiques de Thiérache), venu passer la journée de lundi au Château avec les jeunes stagiaires du Club.
Accompagné de Joëlle Dervin, documentaliste du GRAT, il nous a exposé l'histoire des recherches et découvertes archéologiques autour de la brique en Thiérache puis nous a initié à la méthode d'étude statistique des modules de briques dont il est l'auteur. Cette méthode élaborée en 1975 prend toute sa place dans le corpus méthodologique de ce qu'il est convenu d'appeler aujourd'hui l'archéologie du bâti.
Nous sommes ensuite passés à la pratique, avec la prise de mesures sur le terrain, pratique qui se poursuit toute la semaine pour une partie des jeunes du Club qui suivent ce stage. Ces recherches autour de la construction en brique feront l'objet d'un programme pluri-annuel qui nous permettra, nous l'espérons, de mieux appréhender l'histoire de la construction de la forteresse moderne qui est, encore aujourd'hui, loin d'être parfaitement connue, faute de textes. A suivre !...
Mais le travail et le chantier ne sont pas les seules occupations des jeunes : promenade à pieds jusqu’à l’abbaye de Bohéries pour y ramasser des pommes ; pressage des pommes pour obtenir du jus ; chocolat chaud pour le goûter ; veillée au coin du feu dans la boulangerie ; soirée pizzas et soirées crêpes, atelier cotte de mailles... Les camps-chantiers-patrimoine sont bien une activité de loisir !
Les activités et les chantiers se poursuivent aussi en dehors des vacances avec les adultes bénévoles du Club du Vieux Manoir dont le nombre augmente sans cesse ! Ainsi, le système de fermeture de la porte piétonne de la porte Ducale a été réparé, la porte de la Boulangerie a été remise dans ses gonds ; une porte métallique a été soudée pour fermer la galerie des Lépreux (la porte en bois ayant fait son temps) ; le souterrain du 11e a été vidé et rangé de même que le logement des prisonniers d’Etat et certains bâtiments des douves ; le déboisement du Château se poursuit, en particulier du côté du bastion de la Charbonnière et du Saint-André ; le chantier de reprise du contrefort gauche de la voûte de la Porte de Paris, récemment dégagé de la végétation, a commencé ; l’appentis dans lequel se trouve le matériel a été électrifié, ainsi qu’une partie de la première cour... Les choses avancent, encore et toujours : merci aux bénévoles !
LES ACTUALITES
La conférence de Françoise Chevalier et Paul Lienhart « Gaspard de Coligny, François de Guise, frères ennemis » a attiré samedi 25 novembre une cinquantaine de personnes au Château, dans la salle des Tupigny. Elle fut suivie de nombreuses questions du public, ainsi que d'un pot qui a permis de poursuivre les échanges. Nous remercions ici les intervenants, ainsi que les Amis du Musée du Protestantisme de Lemé qui ont, avec le Club du Vieux Manoir, organisé cette conférence.
L’exposition de Françoise Chevalier « Gaspard II de Coligny, homme de foi et homme de guerre », aimablement mise à disposition par le musée de Châtillon-Coligny, est quant à elle toujours visible au Château, dans le cadre des visites du site, jusqu’au 21 décembre.
QUELQUES DATES A RETENIR
18 octobre-1er novembre : Camps-chantiers-patrimoine du Club du Vieux Manoir
http://www.clubduvieuxmanoir.fr/
Du 25 octobre au 21 décembre : Exposition Gaspard II de Coligny, homme de foi et homme de guerre
http://www.musee-leme02.fr/
http://chateaudeguise.fr/
BONNE JOURNEE A VOUS !
LES JEUNES DU CLUB DU VIEUX MANOIR
samedi 1 novembre 2014
Qui sera la miss Guise 2014?
GUISE (02). Demain soir, l’élection de la plus belle fille de la commune aura lieu à la salle des fêtes. Elles sont neuf à s’affronter dans cette manifestation organisée par le comité des cheveux blancs.
La salle des fêtes abritera l’élection de Miss Guise 2014, samedi soir, au cours d’un défilé de mode qui débutera à 20 h 30. Les membres du Comité d’aide sociale des cheveux blancs et sa présidente Lilette Henechard sont les principaux instigateurs de cette manifestation de prestige.
Celle-ci sera orchestrée par Gérard Loncq qui offrira au public attendu nombreux, un défilé de mode grandiose, tandis que les membres de la commission animation de la ville de Guise et son représentant Alain Xavier apporteront leur aide et leur soutien à cet événement.
Neuf candidates ont donc répondu à l’invitation des organisateurs afin de prétendre au titre prestigieux de Miss Guise. Mercredi soir, elles étaient sur place pour participer à l’ultime répétition qui leur permettra d’accomplir la meilleure prestation possible.
À cette occasion, les jeunes femmes se sont présentées :
– Nora Lambin, 16 ans, lycéenne domiciliée à Guise et qui a pour principaux loisirs : le théâtre et la piscine (nº1).
– Déborah Lobjois, 17 ans, lycéenne de Guise. Loisirs : majorettes (nº2).
– Adeline Bruyère, 19 ans, de Guise, caissière. Loisirs : Majorettes (nº3).
– Mélinda Jaris, 15 ans, lycéenne de Guise. Loisirs : danse et chant (nº4).
– Blandine Dollain, 17 ans, lycéenne de Monceau-le-Neuf. Loisirs : photographie, mannequinat et équitation (nº 5).
– Alison Belhaurari, 21 ans, demandeuse d’emploi de Guise. Loisirs : danse, chant et cinéma (nº 6).
– Eugénie Poulain, 17 ans, lycéenne de Guise. Loisirs : danse (nº7).
– Charline Mourin, 16 ans, lycéenne de Landifay. Loisirs : mannequinat (nº 8).
– Laurine Drucbert, 22 ans, hôtesse dans une bijouterie de Maubeuge. Loisirs, autres activités : mannequinat et communication (nº9).
Rendez-vous demain soir à la salle des fêtes de Guise dès 20 h 30. Entrée de la manifestation : 5 euros.
Inscription à :
Articles (Atom)