mardi 31 décembre 2013

L'ancien ouvroir sur le point d'être vendu

hebergeur image La chambre de l'abbé Couterie est donc en vente avec le bâtiment dans lequel nous faisions le patronage et le catéchisme... adieu Tintin.....

Le diocèse se sépare de l’édifice religieux quelques mois après sa mise en vente. La Ville ne s’est pas montrée intéressée. Une réticence pointée du doigt par les Amis du château.

Un compromis de vente vient d'être signé pour l'ancien ouvroir situé au cœur de la vieille ville juste en face de l'église Saint-Pierre et Saint-Paul et à côté du presbytère.
Des privés se sont montrés très intéressés par cette bâtisse de caractère pour la transformer en lieu d'accueil via la création de chambres d'hôtes.
Le prix de vente initial fixé à 240 000 € il y a quelques mois par l'agence Patrice Besse, située à Paris, serait alors descendu à 140 000 €. De quoi attirer d'éventuels repreneurs.
Une démarche confirmée par Claude Brohard, le comptable de la paroisse de Guise, qui ne connaît pas forcément bien les objectifs des futurs propriétaires.
Le maire Hugues Cochet, qui a rencontré les repreneurs potentiels jugés comme « sérieux », soutient cette initiative au grand regret de l'association des Amis du château.
Ces derniers voient ce bâtiment comme l'occasion unique pour la ville de créer une cohérence architecturale et surtout un lieu d'accueil pour les nombreux bénévoles présents sur les chantiers annuels contraints continuellement de loger sous la tente. Le maire s'est fait interpeller par Jean-Jacques Debadier lors du conseil municipal de fin d'année. « On a mis en route une dynamique autour du château. Ce bâtiment pourrait servir au développement des activités. Il serait dommage pour la Ville de laisser passer l'occasion de l'acheter. »
Hugues Cochet a clairement rappelé que la Ville participait déjà activement à la restauration du château et qu'en aucun cas elle ne se porterait acquéreur de l'édifice religieux. « Ce bâtiment vaut 140 000 €. L'achat c'est une chose mais il faut aussi penser au fonctionnement. Pour une collectivité, ça représente un coût énorme. La commune continuera à aider le château mais en aucun cas on ne mettra 140 000 € là-dedans. »
De son côté, Laurent Poichotte, l'économe du diocèse de Soissons, rappelait l'été dernier « que la paroisse en avait un usage trop limité et des coûts de fonctionnement élevés ». Ce bien de 400 m2 et 14 pièces édifié en 1610 servait encore l'année dernière pour des réunions paroissiales et le catéchisme, « mais il n'y avait plus assez d'enfants présents », précise Jacques Brémard, ancien commerçant de Guise et donateur de l'Eglise. Reste à savoir comment vont s'effectuer les travaux de rénovation.


http://www.aisnenouvelle.fr/article/autre-actu/lancien-ouvroir-sur-le-point-detre-vendu

dimanche 22 décembre 2013

Le Vox après l'entracte et les esquimeau au chocolat.....

J'ai fait un article sur ce beau cinéma Vox de Guise ... c'était le 11 Novembre dernier ...vous pouvez le relire sur ce lien.. http://guisefrancis.blogspot.com/2013/11/le-vox.html

Aujourd'hui, grâce à Sylvie la guisarde je peux vous montrer l'ancêtre du Vox et ce qu'il est devenu aujourd'hui...
Place aux photos !!!

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HIER
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AUJOURD'HUI
 
Merci Sylvie la Guisarde !!!

Et pour vous faire plaisir ... la dernière séance de l'Eldorado
 

samedi 21 décembre 2013

La Société Générale en images

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J'ai travaillé à la Société Générale de Guise ...vous le savez et fallait bien que je parle de l'agence...c'est grâce à mon camarade du collège de la place Lesur Patrick Nicolas que je peux le faire...il m'a adressé cinq photos d'époque...merci Patrick
Connaissant mon projet d'article, Sylvie la Guisarde m'a adressé les deux photos qui me manquaient pour terminer l'article ...les photos de Sylvie sont les deux dernières....l'agence de Guise aujourd'hui!!! MERCI SYLVIE !!!
La première photo ci dessus montre l'agence avant 1900 ...c'est pour cette raison que la photo est trouble...
La seconde ci dessous date des début du XX° siècle...ils ne savaient pas encore que je viendrais travailler ici !

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Ci dessous l'agence de Guise transformée en KOMMANDATUR (1ère Guerre Mondiale).

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Sur cette photo on trouve les Employés de l'Agence, au début des années 1950.
On reconnaît , en partant de la gauche, la 2ème demoiselle : Mme Yvette CHASSAGNE,

née PEPPERMANS.
Ils ne savaient pas que j'allais arriver....

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Voici les photos de Sylvie...La Société Générale aujourd'hui....elle a pris les photos de la banque ce jour...et les passants se sont certainement demandés si elle ne préparait pas un "casse" (je plaisante)

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Mon bureau se trouvait juste derrière la fenêtre de gauche et je sortais les poubelle de l'épouse du directeur par la petite porte à gauche ....
Merci encore à Patrick et à Sylvie sans qui cet article n'aurait pas vu le jour !!!

vendredi 20 décembre 2013

La rue Camille-Desmoulins va connaitre un ravallement de façades

La rue Camille-Desmoulins est le premier secteur de la ville inscrit dans une politique de ravalement de façades. Le début d’un dispositif long, complexe mais indispensable à la rénovation de cette très vieille artère.
Mon vœux se réalise .....


La plus ancienne et la plus commerçante, la rue Camille-Desmoulins est devenue au fil du temps la plus décriée de la ville, à tel point d'être surnommée la Cour des miracles. Aujourd'hui, les propriétaires bailleurs sans scrupule n'ont qu'à bien se tenir. Le conseil municipal a retenu mardi soir la rue Camille-Desmoulins comme étant le secteur de la ville éligible a une opération de ravalement de façades.
Mise sous pression
En clair, les élus vont « mettre la pression aux propriétaires car certaines façades sont dans un état pitoyable », pour reprendre les dires du maire Hugues Cochet de manière à ce que les propriétaires réalisent les travaux nécessaires et redonnent à cette rue un certain cachet. Le maire a donc décidé de s'attaquer, avec le soutien de l'Etat à cette verrue du centre-ville, « Chez certains propriétaires il y a n'importe quoi de fait mais par contre, ils savent encaisser les loyers. »
Procédure d'injonction et arrêté
En 2013, quelques façades ont déjà été refaites, un début, mais il reste encore beaucoup de travail. Cette opération a reçu l'aval du préfet qui pour la première fois retient une ville dans le département qui oblige ces ravalements de façades. Si les propriétaires ne respectent pas cette décision, une procédure d'injonction pourra être déclenchée. La Ville peut encore aller plus loin en prenant un arrêté avec sommation d'effectuer les travaux. Le nouveau conseiller municipal, Vincent Detaille, résident dans la dite rue, a applaudi des deux mains mais souhaite une vraie réflexion pour un projet de rue à long terme, « il faut uniformiser un projet, définir un code couleurs pour les façades et savoir ce que l'on veut faire de cette rue ? » a-t-il demandé. Réponse du maire : « on cherche déjà à réhabiliter la rue sur certaines vitrines, ensuite ce sont les Bâtiments de France qui sont habilités à définir les codes couleurs et non la ville de Guise car la rue Desmoulins se trouve dans le périmètre du château fort […] la priorité actuelle c'est de remettre les façades en état. »........ l a suite sur ce lien....ttp://www.aisnenouvelle.fr/article/departement/certains-riverains-vont-ravaler-leur-salive

lundi 16 décembre 2013

Pour la bonne cause

Je vous ai déjà dit que l'on avait l'occasion de retrouver des situations semblables au cours de notre vie...Mon article sur les fêtes du familistère et de Mostar m'ont rappelé un épisode similaire que j'ai eu à gérer au cours de mon parcours....
A Guise j'avais eu à régler un différends entre deux de mes amis...il faut beaucoup de diplomatie pour que certains n'en viennent pas aux mains...je ne raconterais pas la teneur de ce différend ici, ni de quels amis il s'agissait...mais je peux dire que quand je les ai quitté leur affaire était bien réglée et les amis étaient redevenus amis....
Il m'est arrivé à peut près la même chose à Mostar...J'étais donc président des sous officiers et je devais veiller à ce que des querelles sans importance ne dégénèrent et surtout qu'elles ne soient pas ébruitée auprès du commandement car les problèmes se soldaient en général par un vol dit bleu ce qui voulait dire expulsion manu militari du territoire avec toutes les conséquences disciplinaires qui s'ensuivaient...
Un jour donc, une femme adjudant de la marine nationale est venue me voir au Centre Opérationel pour se plaindre d'un adjudant de l'armée de terre qui l'aurait insulté un soir....Nous logions dans des petites baraques dits Corimec et ces petites baraques se touchaient presque et les bruits de nuit étaient amplifiés...l'homme avait fait fonctionner sa chaine HI FI trop fort ce qui empêchait l'adjudant féminin de dormir...elle est allée lui demander de baisser le son et l'homme lui aurait répondu en des termes assez crus...
J'ai dit à la femme que je m'occupais de l'affaire ...apparemment elle ne m'a pas cru car elle est allée se plaindre au commandant de la base...ce dernier a donc convoqué l'adjudant masculin pour le punir.
J'étais donc avec l'adjudant quand il s'est présenté au colonel commandant la base...ce dernier m'a reçu en privé et je lui ai expliqué que je réglais le problème à mon niveau...que c'était une affaire de sous officiers et pas un problème d'officiers...
Nous nous sommes donc entendus sur le fait que je m'occupais de tout et que si le problème n'était pas réglé l'adjudant serait sévèrement puni. J'ai demandé à l'adjudant de m'accompagner chez la jeune femme de la marine pour qu'il s'excuse...il n'a pas dit oui tout de suite, il estimait que c'était elle qui l'avait agressé verbalement le soir...j'ai du le persuader ...il a "fait un nœud à son mouchoir" comme on dit, et s'est excusé....la jeune femme toute contente nous a offert un café et quand j'ai quitté Mostar, ces deux là étaient les meilleurs amis du monde....la marine et l'armée de terre ont fait ami-ami!!!
Entre parenthèse, pendant ce temps là mon travail au centre opérationnel prenait du retard...mais c'était pour la bonne cause....

samedi 7 décembre 2013

Un orgue dans un cadre majestueux

C'est un article de presse que je viens de découvrir...que de souvenirs dans cette église....

Après l’exposition sur l’église, l’association historique a offert un concert de l’orgue tout juste restauré. Du haut niveau.

Un concert d'orgue a eu lieu ce week-end à l'église Saint-Pierre Saint-Paul de la commune.
Afin de pouvoir donner un aperçu complet des registres de l'orgue, après sa restauration, Jean-Michel Bachelet, Rodolphe Proisy et Jeanne Olivier-Pierra ont présenté un florilège de courtes œuvres du dix-septième au vingtième siècle, pour orgue, pour trompette et orgue, pour voix et orgue, toutes créées par des pianistes qui ont composé pour l'orgue.
Restauré en novembre, par l'artisan Daniel Decavel, à la demande de l'Arche et de la commune, l'instrument a pu donner la pleine mesure de ses possibilités devant de nombreux spectateurs.
Jean-Michel Bachelet, a été l'élève du chanoine Emile Dartus, de Philippe Lefèvre et de Jean-Philippe Fetzer. Il a effectué ses études au conservatoire de Cambrai où il a obtenu une médaille d'or en 1986 et un premier prix d'excellence en 1990. De 1981 à 2009, il est titulaire des grandes orgues de l'église Saint-Gery à Cambrai où il enseigne au conservatoire. Concertiste il se produit aussi dans différentes villes de France.
Rodolphe Proisy, initié à la trompette par Pascal Lenglen à l'école de musique de Vervins, obtient en 1996 le premier prix de trompette au conservatoire de Saint-Quentin et le premier prix du conservatoire des Hauts-de-Seine en 1997. Il est aujourd'hui professeur de trompette aux conservatoires de Soissons, de Noyon et directeur de l'orchestre d'harmonie de Saint-Quentin.
Jeanne Oliviet-Pierra, soprano, ancienne chef du chœur féminin de Saint-Quentin participe à de nombreux groupes lyriques avec lesquelles elle se produit régulièrement en France et à l'étranger. Elle est connue à Guise comme l'ancienne principale du collège Camille Desmoulins.
Ils ont interprété, devant un très nombreux parterre, du Brahms, Haendel, Albinoni, Mendelssohn… dans le cadre majestueux de l'église médiévale.


http://www.aisnenouvelle.fr/article/autre-actu/un-orgue-dans-un-cadre-majestueux

dimanche 1 décembre 2013